Notes

hello friend traveller
this is a page of brief notes, fragments of thoughts, exercices and things
please ignore this exhaustive bunch of words words words
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cher journal, aujourd'hui est un jour d'été. Dans mon entourage, il y a des basses et des sons graves. La vie n'est pas pénible et supportable. Le temps atténue des douleurs Le fait d'agir peur faire changer les choses On n'est pas toujours obligé de se tuer à la tâche Agir sans se sacrifier, est important _____ mercantile : Digne d'un commerçant avide, d'un profiteur. avilir : Rendre vil, méprisable. austère : Qui se montre sévère pour soi, respect rigoureux des principes vivace : difficile de détruire ostentatoire : qui attire l'oeil véhémence : force impétueuse, intense nonchalance : manque d'ardeur _____ Aussi comme il rit, comme il rit, se comparant sans cesse aux chenilles humaines, lui si fort, si intelligent, lui pour qui une partie des lois conditionnelles de l’humanité, physiques et intellectuelles, n’existent plus ! Et ce rire est l’explosion perpétuelle de sa colère et de sa souffrance. Il est, qu’on me comprenne bien, la résultante nécessaire de sa double nature contradictoire, qui est infiniment grande relativement à l’homme, infiniment vile et basse relativement au Vrai et au Juste absolus. Melmoth est une contradiction vivante. Il est sorti des conditions fondamentales de la vie ; ses organes ne supportent plus sa pensée. C’est pourquoi ce rire glace et tord les entrailles. C’est un rire qui ne dort jamais, comme une maladie qui va toujours son chemin et exécute un ordre providentiel. __ Le romantisme frénétique se caractérise par un désir d’absolu et une impossibilité de réaliser ce désir, dilemme existentiel dont la douleur s’exprime par une ironie féroce, un cynisme exacerbé, des sentiments poussés à leur paroxysme, le délire visuel (motivés par la consommation de substances hallucinogènes, haschich, opium, alcools). __ Pour toute amitié qui le mérite ... Jane Eyre Pensez-vous que je suis une machine dépourvue de sentiments ? Croyez-vous que c'est parce que je suis pauvre, banale, invisible et humble que je suis dénué d'âme et de coeur ? J'ai autant d'âme que vous et tout autant de coeur Vous comprenez que c'est mon âme qui s'adresse à vous Comme si nous étions mort et que nous nous retrouvons tous les deux face à Dieu Égaux, ce que nous sommes Je suis un être humain libre doté d'une volonté propre à laquelle j'impose mon désir de vous quitter L'histoire de la jeune Jane Eyre raconte son cheminement dans la vie à l'époque, en Angleterre. Orpheline, elle a été recueillie par son oncle, qui est décédé à son tour. Elle se retrouve donc avec sa tante et ses enfants, 2 fillettes et un garçon. À son plus grand malheur, elle fut le chat noir de cette famille. Ne s'entendant pas du tout avec les autres enfants, hautains et sans scrupules. Elle fut placée en pensionnat et elle fit la rencontre de Helen Bruns. Très calme, elle ne montre pas aisément sa colère contrairement à la petite Jane, et maintient par le soutien de sa force, une ouverture d'esprit critique et différente. Par des discussions intimes, elles échangent leurs moments, leurs vies difficiles et présente les gouvernantes. D'une institutrice stricte à la sagesse en personne, les injustices et la bonté marquent l'esprit de la jeune Jane Eyre. Bientôt le pays fut terrasser par une maladie. _____ Wanting for "me happily ever after", I lowered my defenses Forgetting the first lesson I was taught : That I was brought to this world to be abandoned That I am irrevocably alone (Mary Shelley, 2018) Unconventional approaches of living There are witches in the wind. I have an idea. We are each one of us , to write a story. A ghost story. It's a competition of course. Whoever writes the finest story shall win. _ It was a dreary night of November That I beheld of accomplishement of my toils Remember that I am thy creature I ought to be thy Adam but I am rather the fallen angel whom thou drivest from joy for no misdeed everwhere I see bliss from which I alone am irrevocably excluded I was benevolent and good Misery made me a fiend Make me happy And I shall again be virtuous But soon he cried " I shall die " and what i now feel be no longer felt Soon these burning miseries will be extinct I shall ascend my funerals pyre triumpantly and exult in the agony of tortured flames My spirit will sleep in peace or if it thinks it will not truly think thus Farewell. __ We have created monsters, Mary. But let's not let them devour us __ Dialogues tirés de film (Colette, 2018) "Au fait, félicitations. Ce que vous avez fait est très important. Vous avez inventé un style nouveau. Toutes ces filles entre l'enfance et la maturité, vous leur avez donné une voie. Inutile ,,, Vous rencontrer m'a suffit." Une véritable Gentle Man. "ça m'est égal." N'est-ce pas ? J'en ai parcouru du chemin. Je n'en doute pas une seconde. Et toi alors ? Est-ce que tu es heureux ? " Des femmes, Des couteaux... Une vraie tragédie grecque." Je t'aime c'est tout. - Merci. Ce n'est pas la réponse habituelle qu'on attend mais... Je m'en contenterai. Votre sourire équivoque, votre intelligence solaire, vos jubilations capricieuses, et mêmes vos colères brêves mais violentes. "Ce silence c'est terrifiant, non ? Moi j'en raffole." Je suis un peu préoccupé. Tu fais du mal Et tu crois qu'en proclamant que tu es un homme et que tous les hommes le font, ça te disculpe ? Ce que tu as fait n'est pas odieux, mais stupide Ma propre enfance, Mes opinions Au fond je savais et toi aussi tu savais Si bien qu'à chaque désespoir Je n'attends plus ma fin Mais le petit miracle banal Qui renoue, étincelant, le collier de mes jours __ Mathilde de Morny, dite « Missy », « Yssim », « Oncle Max », « Max » ou encore « Monsieur le Marquis » Paris de la Belle Époque __ La société mondaine, ou le monde, est en France le milieu social constitué des personnes appartenant aux classes aisées de la société qui partagent un même art de vivre et un certain nombre de valeurs traditionnelles ou conservatrices, et pour lesquelles l'observation d'un certain nombre d'usages est un élément de reconnaissance. Société mondaine désignait sous l'Ancien Régime la société laïque par opposition à la société ecclésiastique (ministres ordonnés, religieux et religieuses) __ Le journal de Francis Abernathy __ Survivors stray, walking in strange form. The fields burn and the sky turns black. Ashes stain my hands, I want my sins erased. Pale bodies line the floor on the night of this ritual. Lured by lust, poisoned by fear. Tortured and beaten. Fog layers the ground as darkness shows its face. Walk this mile of agony and you will find God at the ends of the earth. Can you hear me now, in these dreams of sacrifice ? Can you feel me now, in these dreams of sacrifice ? __ Les créatures perdent leur lumière 창조물들은 그 빛을 잃고 la vie tourne à la mort 삶이 죽음으로 변해가는 Nous sommes dans ce temps lent 그 느린 시간 속에 우린 있어 séparé des sens 감각들로부터 분리되어 perdre lentement 서서히 잃어가며 Ça fait mal autant que la vitesse 그 속도만큼 고통스러워 ton portrait gravé en moi 내 안에 새긴 너의 초상화 je le peins en noir 나는 검게 덧칠해 Sans toi ce monde n'est plus 너 없이 이 세상은 더 이상 n'existera pas 존재하지 않게 되겠지 Jour et nuit, soupirs et joies 낮과 밤도 탄식과 기쁨도 tout devient vide de sens 모든 것이 의미 없게 되어 sera vide 텅 비게 되겠지 Ce monde perdra sa valeur 이 세상은 가치를 잃어버리고 말겠지 La lutte pour trouver le sens de l'existence 존재할 의미를 찾는 몸부림도 cette beauté aussi 그 아름다움도 tout devient vide de sens 모든 것이 의미 없게 되어 sera vide 텅 비게 되겠지 Notre beau clignotant 우리의 아름답게 점멸하던 Les créatures perdent leur lumière 창조물들은 그 빛을 잃고 la vie tourne à la mort 삶이 죽음으로 변해가는 dans ce temps lent 그 느린 시간 속에 nous sommes 우린 있어 Sans toi ce monde n'est plus 너 없이 이 세상은 더 이상 La lutte pour trouver le sens de l'existence 존재할 의미를 찾는 몸부림도 cette beauté aussi 그 아름다움도 tout devient vide de sens 모든 것이 의미 없게 되어 sera vide 텅 비게 되겠지 nuits blanches 잠들 수 없는 밤들이 répété un nombre incalculable de fois 셀 수 없이 반복된다 Je me tue et fais lever le soleil 나는 나를 죽여 해가 떠오르게 해 un monde parfait sans moi 내가 없는 완벽한 세상 Sans amour ni compréhension 사랑할 것도 깨달을 것도 없이 notre fin 우리의 종말이 nous ne sommes pas ici 우린 여기에 없어 Rien n'est mauvais 아무것도 잘못되지 않았어 __ Cher ami, Je ne sais pas si j'aurai le temps d'écrire d'autres lettres Car je serai sûrement trop occupé à vivre la vie Alors si cette lettre est ma dernière Je tiens a te dire que j'étais plutôt mal en point au début de cette année Mais que tu m'as aidé à m'en sortir, Tu m'as aidé à me sentir moins seul Nos histoires vieilliront avec nous À notre tour nous serons fier de notre jeunesse Pour l'instant ce ne sont pas encore des souvenirs : C'est ce qu'on vit Tout s'éclaire A l'instant, tu sais que ton histoire n'est pas une histoire ratée Tu es vivant Il y a ceux que tu aimes le plus au monde Et à ce moment très précis On est tous en harmonie - Charlie __ L'espoir et le résultat sont deux choses différentes L'un ne garanti en rien que l'on atteigne l'autre Quand la peur me vient que je pourrai cesser d'être Avant que ma plume ne ternisse Quand je vois sur la face étoilée de la nuit D'immenses étincelles Me fond sentir léger Jusqu'à me tomber dans les abysses du sommeil C'est un esprit brillant. Je ne suis pas sûr qui m'apprécie. Cessez ou disparaissez. Vous êtes ignoble. Je m'incline devant votre ambition ; Il incarne sans cesse d'autre corps. Si une chose est sacrée, ce sont les élans du coeur vous devriez le savoir Croyez-moi ou non, ce n'est pas de l'orgueil. Pardonnez-moi Je veux rire et parler de thé, de robes dans des salons Afin de trouver ma joie de vivre et mon humour Le commun des mortels Muse Je suis stupéfait. Votre écriture est la plus belle chose que je connaisse. Mon coeur a mal Comme si j'avais bu une gorgée de trop D'acide ou de poison. Dans l'obscurité, j'écoute Sombrant dans mes pensées Et méditations afin d'oublier, de Cessez d'être Alors que les esprits flânent Et les spectres se délectent Dans l'ombre Me confesserez-vous vos sentiments ? Il me faut des mots plus éclatants Que votre lettre m'enivre comme l'odeur de votre parfum Loin, très loin C'est vers toi que je fuis Où palit de désespoir la jeunesse de ma vie Dans l'encens Infuse La saveurs que la saison distribue Sous les cerisiers mourrants Tu n'es pas né pour la mort Oiseau immortel La voix que j'entends Le même chant qui siffle sous la porte Des courants d'air fuyants Des spectres solitaires Qui se pavanent dans les couloirs froids Entre les murs blancs vers ta chambre Une larme s'échappe au pied du chevet La petite bougie qui te tient compagnie Brûle et respire le même air que toi Asphyxie de l'âme Une goutte d'encre tâche les draps Quels sont les maux qui te tourmentent Cette nuit Accablé par les lettres Par tes mains tremblantes Tu pleures Je pleure Si loin sont les souvenirs Dont nous avons écrits pour le futur Des histoires qui fânent Comme les fleurs pendues Au senteur éphemères Me confesseras-tu tes craintes du soir Ici les fleurs pleurent Et souffrent en silence La tête coupée Aussi impitoyable que tu es Lorsque ton regard croise le mien Un souffle au coeur Le silence m'est léger Solitaire comme les étoiles Tu m'abandonneras à mon propre sort Après avoir pris tout mon sang Il faut à l'amour un peu d'absence Jusqu'à la mort Je t'attendrai. Suis-je éveillé ? Ou endormi ? ___ Aujourd'hui, j'ai rendu un service à ma maman ; j'ai été porté un pot de miel à une de ses amies Et je suis tombé sur une pile immense de livres dans la rue. À mon plus grand bonheur, j'en ai récupéré quelques-uns. Lire me permet de m'instruire en me déconnectant de la réalité, En m'éloignant de mes pensées et de l'existence Tout en étant conscient du monde qui nous entoure Lire est un refuge. ___ oh man... this shit again, going into dmmd ... my real weakness This is interesting to play ot 10 years later, it's like going back in a dream. It makes me nostalgic ! __ We went to a bistro/café with a piano in Brussels, and we met with several artists creating the dead poets society, hu ? __ Hearing a owl 1170 __ Cher A, Dans un monde idéal, peut-être que je resterai indifférent à tout ça. Froid, insensible. Ne ressentir aucune chaleur, ni mécontentement, pas meme de rage. Rien Le néant Resteras-tu avec moi ? - Noiz __ On ne peut m'acheter avec des cadeaux... Car je peux m'offrir beaucoup de choses par moi-même. Mais il y a tout de même certaines choses que je ne peux acquérir... In these words __ L'auto satisfaction est un sentiment qui peut se révéler utile lorsque le monde semble vide de sens. Ne jamais douter de son parcours, celui-ci a permis de forger l'âme et de te construire. La satisfaction personnelle n'est pas de l'orgueil, l'orgueilleux qui se cherche encore, la satisfaction est l'humilité de se dire qu'on a pu faire de son mieux. Prouver à soi-même et aux autres que tu as de la valeur, que tu sais te défendre sans te laisser faire et réfléchir de manière juste. Bien sûr, sans certitudes, chaque individu à le droit de se remettre en question. De percevoir les différentes perspectives afin de mieux comprendre. Faire preuve d'auto-suffisante est la marque de sûreté qu'on a une certaine stabilité mentale. La vie est faite d'embrouilles, d'événements imprévisibles et de hasard. Mais s'appliquer et faire des efforts afin que celle-ci ne crée pas de tâches permanentes est également important. Ne pas trop tirer sur la corde et se laisser du temps. Agir au bon moment (mémo : notes des maximes delphiques) On ne sait pas de quoi demain sera fait. Socialement, l'humain peut s'associer avec son entourage. Il peut également refuser. L'influence des autres, est due à son environnement, qui sont inévitablement étroitement liées aux circonstances de la vie. On ne choisi pas forcée où l'on naît. Mais l'humain est libre de choisir ses relations et la manière dont il modèle ses pensées sur lesquelles il a du contrôle. Passivement, l'humain n'a pas contrôle sur tout. Vivant dans un milieu régulé par d'autres, il se fait parfois emporter par le courant. Le courant du temps qui ne s'arrête jamais. __ Je ne pouvais pas m'arrêter de sourire Tous les enregistrements de mes notes, tous ces recording vocaux se perdront dans les néants du rythme social Cet engouement, cette toile, cette passion Distraite et concentrée Sur les circonstances, les évènements Dans le cahier Et l'Astrolabe. Dear L, Tu me manques. Les nuits bleues avec le reflet de ta peau blanche pâle, Et tes cernes mauves Les rideaux jaunes adoucissant la lumière Drapés lourds et froid Transcendance vers le sommeil __ Parmis les humains, tu disparaîtras et deviendras poussière ; tu mourras dans la souffrance comme elle est inévitable. Comment s'affirmer ? Comment avoir des certitudes qui ne se dissout pas ? Comment se frayer un chemin ? Les livres sont pour moi comme une consolation. L'écriture est le miroir trouble de ma pensée L'affirmation se structure sur des bases construites à partir de fragments qui constitue ton identité, cependant les états d'âmes, les émotions, les désirs influencent les pensées qui s'égarent si on n'a pas de contrôle. Affirmer c'est oser se tromper dans un certain sens. __ La solitude est la compagne des esseulés d'amour Et de cette distance, par cet isolement, connait la déchirure La mélancolie est le poison, et l'antidote aussi Elle est l'amant, elle est l'aimé, elle est ainsi La solitude raconte le récit du chemin de sang Et les histoires des fous d'amour et des amants Il faut avoir perdu la raison pour comprendre En ce chagrin brûlant, nos jours de sont perdus Les nuits errantes sont devenues les compagnes de nos brûlures Si je n'ai plus rien à dire, alors je me tais. __ J'écrirai une histoire, sur des personnages déprimés qui trouvent une solution pour aller mieux __ La liberté, la solitude Demain peut-être que je me battrai un peu plus ? Ne le dites à personne. Cette gêne qui se prenait de ma vie, pourtant se voulait d'être acceptée Elle se montrait uniquement parce que la remarque était claire, La gêne était omniprésente parce que l'acceptation de la réalité était incertaine Ou plutôt incalculable, imprévisible Je ne tolérais pourtant pas qu'on puisse parler dans mon dos Je relirai les maximes Ta réalité dépend de toi Alors ouvre les yeux et reste toi-même car le monde t'appartient __ Jamais les raisons sentimentales ne sont puériles, elles existent bel et bien Notre amitié compte beaucoup pour moi, j’aime nos moments tu sais Moi je t’adore d’accord et j’adore tous nos moments - E __ Toute la maison est endormie Somnolence Je le dirigea vers la porte de ma chambre Sans m'en rendre compte Je me suis retrouvé dehors La fumée s'échappait de ma main Je pleurais Comme les arbres morts, seuls, abandonnés __ Je t'aime, bien sûr que je t'aime... C'est un fardeau attaché autour de mon cou, et à cause de ça je m'immerge encore et encore, mais malgré tout je ne peux pas l'abandonner et je ne pourrais pas continuer à vivre sans. (A. Tchekhov, La Cerisaie acte III) __ Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes. (A. Rimbaud) _ Vide creux entre mes mains Pourtant l'atmosphère est calme L'orage gronde doucement et je n'ai plus peur Désormais L'odeur de l'encens est la seule présence qui me réconforte Chasse les pensées, les mauvais esprits Le désordre. Je veux je te veux C'est pour toi Et personne d'autre Absence De présence Je veux disparaître En toi Puis-je me noyer en toi ? Puis-je me dévouer à toi ? Puissiez vous m'anéantir Savoir être patient Dis lui d'attendre De de faire languir Baiser les mains Si doux, si doux Reculer La distance fait-elle partie de l'expérience ? C'est toi-même qui le dit Mais qu'est-ce que tu racontes ? Ne fait pas tout foirer Attends le Peut-être qu'il ne te désirera plus C'est trop tard ? Ne te tourmente pas trop Je lui fais confiance Confiance... Confident Concessions Il te l'a dit, non ? " Voilà " Tu fais partie de ma vie Je veux ternir dans vos couleurs, Je ne vaux rien Je suis l'instrument de mon propre malheur Pouvons-nous ne vivre que de lettres ? De mots écrits, gravés dans du papier De lettres, des maux, des songes Des poésies, des présents, des odeurs Ne vous lasserez donc pas de ma présence ? De ma non-présence ? De mon absence Ou du trop du peu que je suis Une ébauche Un brouillon froissé Chiffonné, plié, craqué Brûlé au fond d'un cendrier Des cendres je sens La brûlures de vos ongles Sous ma peau Et les objets métalliques qui crient Sur ma peau Sur ta peau Je veux te couper la gorge L'absence rend fou ? L'absence de l'âme Errer dans le noir Est-ce de la défonce dont j'ai besoin ? Se mettre très très mal Volontairement Pour sentir quelque chose Sentir que tu vis Sentir que tu souffres Sentir dans l'entièreté L'arme de l'auto-destruction n'attirerait pas la pitié ? Je ne veux pas de votre pitié Ne me regardez pas Laissez moi être Seul Seul Seul Ne me laissez pas Ne vous lassez pas __ Maître et compagnon spirituel Présence par des métaphores solaires Signé " le silencieux " ou " éteint " (nom de plume) Odes lyriques / ghazals Poésie persane, poème court dont les thèmes sont invariablement l'amour, la nostalgie, l'ivresse, la beauté, l'extase, la souffrance. Il se situe dans un monde idéalisé ou tout est sublimé Cette découverte déchire les voiles qui lui cachaient la vérité, lui ouvrant les portes de l'invisible. Cette expérience le bouleverse du tout au tout et le converti à " la religion de l'amour ". Dans cette religion, il n'y a plus de " bien " ou de " mal ", de " foi " ou de "incroyance ". Dans cette religion, il faut tout donner, tout brûler, ce que l'on possède, ce que l'on est, la raison raisonnable, les croyances infondées, les certitudes, les illusions de vérité, les attachements quels qu'ils soient. Aucun dogme ne saurait la réduire, aucune pratique. Elle est, essentiellement, ouverture et ascension, au delà de l'au-delà. " Désiré toujours plus que ce qui vient à toi Plus que le ciel " C'est toi que je veux Toi, tel que tu es Je veux un désirant Il trouve en lui un réceptacle capable de le recevoir, lui et ce qu'il avait à transmettre. Un assoiffé Un affamé L'eau pure recherche l'assoiffé Pour que cette soif perdure et que jamais ne se tarisse le désire, il disparu de sa vie. Il lui avait prévenu qu'il partirai un jour, lorsqu'il sera arrivé à une maturité spirituelle suffisante. Mais il pensait aussi que l'expérience de la séparation et de l'absence était essentielle dans le cheminement amoureux, car l'absence attise le désire de l'union et intériorise la relation. " J'ai dessiné une forme À toi de lui donner une âme Tu es l'âme de l'âme de l'âme Et moi, je suis le réceptacle corps " "La forme de ma pensée vient de ton souffle On dirait que je suis tes mots et tes phrases." Dans cette œuvre il raconte le roman de l'âme arrachée à son origine, jetée en exil dans ce monde. Il lui indique le chemin du retour et lui montre la voie ; mourir à soi-même, renoncer à l'ego, renoncer à tous les attachements et entrer dans l'amour. Non pas un amour de pacotille, éphémère et limite, mais l'amour-océan qui englobe toute chose, l'amour-feu qui peut brûler l'ego, l'amour infini des êtres dont la manifestation la plus haute est la théophanie, Dieu descendu dans une forme humaine. Renoncer à soi-même pour laisser advenir l'Autre en soi, ne jamais s'arrêter en chemin ; le cheminement de l'âme n'a pas de fin. * Agapè (en grec ancien : ἀγάπη) est un concept philosophique qui désigne l'amour « divin », « inconditionnel », celui des principes. L'agapè est, pour Platon, la troisième forme que prend l'amour après l'amour sexuel (« éros ») et l'amour de la famille (« storgê »). L'amour platonique — de Platon — est un amour désintéressé, c'est donc l'amour pour l'amour c'est-à-dire l'acte de charité principalement. Les philosophes grecs du temps de Platon l'utilisaient dans un sens supposé universel, c'est-à-dire opposé à un amour personnel ; cela pouvait signifier l'amour de la vérité, ou de l'humanité. __ The Secret History Sunday sunny sunday Something went wrong while our walks, Silence trees, crying bird, Saw some ferns and a rabbit ; Secret history isn't a secret anymore ? Sorry Bun we are rotten to the core Sometimes it follows you at night She can't hide, they can't hide __ 3, 2, 1 you jump from the cliff Winter, spring, fall Summer doesn't exist Me and my friends We were just playing Tragic accident Bun broke his both arms Winter, spring, fall The car were stuck in mud Sadly, sorry, We didn't see the fall, Holy worry, We didn't see it at all ___ The start of the End The snow has melted Exposing the body, He was seeking for help Ripping off his shirt Broken neck, violent death Down the hill The crows scream, Fly away Rotting smell, dangerous feel The car took the corpse away. Away from the world, Away from our eyes, Charles drink the bottle, Henry lost himself. Winter ends Broken minds Funerals Dirty hands. Season have fallen, Memories are forgotten, Keep the secret Please do not repeat ___ The feast Sacred rites under the moon Cracking trees are dying soon Lake water reflects the sky A drowned shadow shows a smile The colors seemed bright dull Our divine moon looks like a skull Danger danger the shadow GROW Tonight, The corpse is eaten by crows __ Devenir Instinct Réalité Pensées Rêves Sommeil Sens Processus Psychique Illusions Événements Manifeste Eveil Explication Étrange Discerner Cohérence Trames Association Chemin Analyse __ Cet enrôlement forcé d'entrer dans l'existence, de s'arranger avec tout, l'intérieur et l'extérieur, avec l'amour, avec la haine, avec la peur, avec l'envie, avec les autres, avec la société, avec la morale, avec les idées, avec l'univers, avec la mort. Circonstances atténuantes de tout ce que peut être l'humain : il est. __ Nous avons tous fait l'expérience de cette immense solitude, où tous - les livres, la religion, tout - se dérobe, et où nous sommes, au plus profond de nous, immensément seuls et vides. Nous sommes généralement incapables de faire face à ce vide, à cette solitude, et nous la fuyons. Le dépendance est l'une des choses dans lesquelles nous trouvons un refuge, bientôt indispensable, parce que nous ne supportons pas d'être seul face à nous-même. __ Expérience Solitude Vide Incapacité/capacité Faire face au vide Faire face à soi Fuir une situation Refuge Support __ Toute la gentillesse que les gens nous donnent, on peut la rendre doucement en prenant son temps... Ce ne sont pas les occasions qui manquent __ J'en reviens aux débuts, à la première connaissance du mortel de la vie. Il y a beaucoup de souffrance dans le monde, en quantité générale. L'enfance est ce que le monde abandonne, mais ce qu'on abandonne ne meurt pas, et va, errant, sans plus, connaître le repos. Et la douleur l'accompagne. Nous ne sommes pas maîtres de nos façons d'aimer. Elles s'inventent très tôt et forgent notre manière d'être avec les autres. Ma façon d'aimer est une façon de laisser aller, laisser être. Je ne sais pas si nous nous reverrons, un jour, avant de mourir chacun pour soi. Je ne sais pas ce que je pense de la mort. Je ne suis pas sûr que la pensée puisse atteindre une chose aussi fine et abrupte, comparable à la pluie de printemps quand elle arrache les fleurs de cerisiers. Pour me détacher du monde, il suffit de porter mon attention sur [...] La vérité, la pluie, les mots d'amour, la lecture, la solitude. La clarté ; est le plus beau don que l'on puisse nous faire dans cette vie ténébreuse. Quand bien même cette clarté parfois nous tue. Toute chose a son contraire. Son double intime avec quoi il lutte et communique, les deux étant inséparables. L'un étant sombre et l'autre étant clair. Tous deux inséparables, comme sont les vrais ennemis. Le fond de la vie est terrifiant et beau, les deux à la fois, les deux simultanément. Je souhaite contempler ce terrifiant et ne rien oublier de la douleur. La beauté est la lisière de l'amour dont je ne désespérerai jamais. Je suis maladivement attentif à ce genre de détails. Rien ne me bouleverse plus dans cette vie que [...] Entre moi et le monde, une vitre. Écrire est une façon de la traverser sans la briser. Écrire est une façon de répondre à la vie. On a besoin de répondre à un don par un autre don. C'est l'échange équitable. On échange non pour être quitte mais pour continuer à donner et à recevoir, sans fin. Écrire. Encore. Insister. Persister. Encore écrire. Ce qui se dit en moi est confié au silence. Il faut à l'amour un peu d'absence. Je les laisserai ensemble, sans intervenir, charnellement, dansant aux bras jusqu'à ce que la lumière se meurt. Le manque et l'absence est ce dont j'aspire à la vie. ( Nous voulons être aimés. Nous rêvons d'être aimés. Ce mot est plus juste : rêver. Nous rêvons sincèrement, naïvement, d'être aimés. C'est ce que nous croyons, c'est ce dont nous rêvons. Innocemment. En vérité, nous rêvons d'être préférés. - aimés, oui, mais un peu plus que les autres. Cependant, le vrai amour n'a pas de préférence. Le véritable amour est juste, il n'est pas intéressé. La perfection n'existe que dans le monde des idées. Quelque chose en moi s'envole plus loin que ces idées, ces préférences, vers un amour brut, simple. Je reconnais l'amour à cette sensation d'être. Ne serait-ce que pour quelques instants. Je ne vois pas quoi demander d'autre, je ne vois pas quoi rêver de plus. ) La mélancolie se lève avec moi. Elle est comme mon ombre qui se dresse entre le jour et moi. Ce que nous appelons " moi " est un costume d'Arlequin composé d'histoires rapportées, d'étoffes empruntées. Parfois il se déchire. Et quand il tient, c'est un miracle. La mélancolie aime la mort, d'amour profond. L'influence vers les profondeurs est parfois souvent inévitable. Un abîme. J'aimerai savoir ; Appeler à l'aide, Remercier, Attendre, Aimer, Pleurer, J'aimerai savoir être. Les moment mes plus lumineux de ma vie sont ceux où je me contente de voir le monde apparaître. Ces moments sont faits de solitude et de silence. Je ne pense plus à hier et demain n'existe pas. Je n'ai plus aucun lien avec personne et personne ne m'est étranger. Cette expérience est simple. Ces instants sont purs. Ces moments, où, sans s'en rendre compte, on oublie même qu'on existe. Entre la terre et le ciel, le silence. La parole ou l'écriture, les pensées ou le la gare manifesté ne sont que des degrés intermédiaires. Le silence est le premier et dernier. __ SCP Secure Contain Protect ??? __ Dans la tête d'un poète maudit, Aspirant es couleurs terre Les bonnes choses Abondance Espace clos Vermeille les gouttes Morsure et papillon Toi toi toi Vous __ The stairs were wooden, creaking under the prying footsteps of my arrival in this house. The doors were huge. We enter in a discreet little room lit by incense and burning candles ; separated by the bed on the floor, just above our heads, everything was made of wood. The walls were filled with images, photos telling in a abstract way the history of this place. Some very old books were placed on a huge shelf filled with objects ; boxes, souvenirs, a white and red eyes bunny. The chairs were covered with a very pretty piece of cloth, color in a warm tone. And the desk was poetically arranged in the order of a story. Chalices, a golden teapot, messy pens in a cup, map, books, some plants. I could spend hours and hours contemplating this sanctuary. A sink was near the entrance in front of him, a dirty mirror. Toiletries, an orange towel, a hairbrush hung at the end of a thread. (I thought " Ingenious little one. ") The clothes closet was a large wardrobe ; the smell that emanated from it smelled of clean shirts, and old jackets. Cold brown pants were put away, leather belts and bags were hanged. Just looking at E's wardrobe, I could imagine his morning routine. Strolling between his desk and sink which was two steps from each other. The window was high. Enough to scare the phobic of heights. A crimson red curtain was drawn halfway to let in the sunset light that reflected off the opposite building. A second white curtain, transparent enough to let in the light, obstructed the path of my gaze to the outside world. I was in his room, without issue. __ Il est peut-être totalement l'opposé Mais il se trouve que l'être est à la fois ce qu'il aime et ce qu'il déteste Être attiré par ce qui nous repousse ; la loi de l'attraction et de la contre-force __ Sois prudent Âme Mais tu as de la chance Dans ton isolement Toi qui a souffert Trouve où se cache l'amour __ Tu n'es encore pour moi qu'un être tout à cent milles autres êtres. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi, qu'un être semblable à cent milles autres êtres. Mais si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde... " La vie est monotone " Je cours après les autres, et les autres me courent après. Tous ici se ressemblent. Mais si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrais un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Le tien m'appelera à sortir hors de mon terrier, comme une musique. Tu vois les champs de blés là-bas ? Les champs de blés ne me rappellent rien. Et ça c'est triste ! Mais tu as de merveilleux cheveux couleur d'or. Alors ce blé, qui est doré, me fera souvenir de toi. " S'il te plaît... Apprivoise-moi ! " dit le renard. Le language est source de malentendus. "L'essentiel est invisible pour les yeux. " - Le petit prince __ Pour décrire la langue grecque, Aristote se place sur quatres plans différents : La phonologique : lettres et sons, articulations, intonations, accents, aspirations, et notion de syllabes. Le lexical : mot écrit et oral, métaphore, homonymie, synonymie. Grammatical : oppositions verbo-nominales, déterminants, pronoms, genre, temps. Stylistique : logique, rhétorique, poétique, langue écrite et orale __ La vie peut se permettre d'être lente, chaque personne a son rythme. Choisir son futur, le tracer, le bâtir sur des bases stables est important. Saisir les opportunités lorsque celles-ci se montrent à nous, les opportunités proviennent du monde extérieur. Les contacts de dehors. Et l'entretien d'un contact peut se produire sur internet. Avoir et noter ses intérêts peuvent aider à se projeter dans des projets. Et se demander pourquoi ; pour contribuer à un monde meilleur. La bienveillance entre les humains est une voie de guérison. Certaines personnes ont des besoins particuliers. Certaines personnes ont besoin d'espace. Certaines personnes ont les mêmes intérêts que nous. __ " Why so pale and wane, fond lover ?" Pourquoi si pâle et si triste, bel amoureux ? __ L'idée de partager son savoir, de transmettre des pensées et savoir-faire, théorique ou technique est ce qu'on tente de nous enseigner depuis tout petits. Nous sommes des êtres qui captent un maximum de choses, on enregistre, on apprend, on résout des problèmes. Tout va bien. Nous sommes dans une ère calme. Gueuler fort ne sert à rien. Il faut être calme. Réfléchir. Aider les autres humains, dans leurs projets. Accomplir des choses ? Quelle est la trace que tu souhaites déposer sur cette terre ? Dans l'enseignement, il faut avoir la parole impeccable. Tenter d'exprimer de manière logique, simple et universelle. Apprendre des mots, se cultiver, répéter, retenir ! Comprendre l'origine, le sens. Nous sommes tous des êtres capables d'assurer la continuité de notre environnement, de notre espace. Lorsque tu es doué dans une chose, essaie d'approfondir un maximum. Ce n'est pas une chose simple ; lorsqu'on a beaucoup d'intérêts. Est-ce un problème ? Est-il possible de tout connaître ? ... Fais des choses qui te rend heureux ! Ne t'engouffre pas dans une carrière malheureuse, ne perds pas une seule seconde de ton temps !! "Être spécialiste permet d'être rémunéré à la hauteur de ton talent. Cela permet d'optimiser la relation avec notre commendataire / client, en d'autre termes, il a confiance en nous et nous lui prouvons le service impeccable." Bien sûr, il faut du temps, et les erreurs sont parfois inévitable avant d'aligner les étapes, l'harmonie parfaite. Les événements peuvent aussi s'enchaîner, parfois de manière inattendue. Ne te laisse pas abattre lors de ces moments et aie confiance en toi ! Tu es important. Et tu es capable de faire des choses. Je te sens capable d'accomplir des choses, de trouver une raison d'être admirable. Comment gérer les crises ? Se donner des buts / objectifs : repères abstraits si nous aident à nous orienter __ Le rituel Ces moment permettent à l'humain de se poser, de se recentrer et de se concentrer. Philosophie quotidienne Acte de méditation Discipline personnelle Outil de concentration Opération du quotidien Renforcement Validation __ Je sentais que ça pesait Qu'il n'y avait rien à faire Que la défonce, l'auto-destruction Pouvait calmer la douleur Et encore La douleur ne disparaissait jamais Elle tend un jour L'autre jour elle te tue C'est si compliqué en fait de mourir Penser, on ne fait que penser Penser, penser Les gens sont vides Ils sont si vides Que c'en est effrayant __ Le rejet total de l'autre Et de l'être J'ai commencé à trouver du réconfort dans les objets Bien que cela ne m'apporte que du matériel L'isolement Et la solitude Est provoqué par les relations Les objets, eux, vivent, ils ont une histoire, ils ne communiquent pas leur pensées mais uniquement leur aspect et forme extérieure, ils transmettent leur vécu dans le silence Ils se présentent à l'esprit sans aucun but réel et précis. Ils sont juste là. Et apportent, au delà de leur utilité, du réconfort visuel, occupant une place. Ils n'ont de sentiments que par le lien psychologique dont une personne décide de lui choisir Par le souvenir, l'attachement. La personne qui précédera s'y attachera peut être, sans forcément transmettre la même énergie, ou l'attention, ou au contraire. Les objets circulent, ils vivent, au sein de notre histoire, ils s'échangent, s'offrent. Voyagent. La valeur d'un objet n'est pas définie __ Chapitre 13 / Si je parviens à communiquer dans la langue des hommes, mais que je n'ai pas de bonté, alors je ne suis qu'une onde sonore vide. Si je distribue tous mes biens aux pauvres et que je livre mon corps au flammes, mais que je n'ai pas d'altruisme, cela ne sert à rien. Si j'ai le don de la compréhension du monde, de la connaissance de tous les mystères et de la science, mais que je n'ai pas d'amour, alors je ne suis rien. Science sans conscience n'est que ruine de l'âme. L'amour est patient, il est plein de bonté. L'amour n'est pas envieux, l'amour ne se vante pas, il ne s'enfle pas d'orgueil. Il n'est ni malhonnête, ni intéressé. Il ne s'irrite pas, et ne soupçonne pas le mal. Il ne se réjouit pas de l'injustice, mais se réjouit de la vérité. Il pardonne tout, il croit tout. Il espère tout, il supporte tout. L'amour ne meurt jamais. L'univers en constante expansion cessera, lorsque les langues se tairont, lorsque le temps tombera, lorsque la connaissance disparaîtra avec nos souvenirs. Car partielle est notre existence, et quand le chaos atteindra l'harmonie parfaite de l'équilibre de notre univers, nous retrouveront chacun notre place dans le cosmos et ce qui est partiel disparaîtra. Lorsque j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu adulte, j'ai mis fin à ce qui était enfant. Maintenant, il ne reste que les souvenirs. __ Stay humble No matter what not proud or haughty : not arrogant or assertive Insignificant and unpretentious Leave your ego aside and open up to others, to knowledge and to sharing Construct yourself on open-mindedness And self-sufficiency No jealousy No hate Injustice is real and sometimes you can't do anything ; just lay down And appreciate the calm Appreciate solitude Appreciate time __ VENTUSKY Siteweb de météo qui permettent de voir où sont les cyclones et les anti-cyclones __ La nuit À l'ombre de la lumière, Dans le trouble de la constante, Question sur le temps Question sur l'existence Question sur l'être Et de l'absence d'être __ Lorsque tu reçois quelque chose, il faut rendre son équivalent. La valeur doit être appropriée, égale, juste. Sinon... Du mal peut être fait. Au corps de ce monde, Au destin des étoiles À l'âme du monde céleste. Souviens toi bien du lien qui nous unit. Toi et moi avons établi un lien. Les plus futiles rencontres où événements ont leur influence. Aussi bref qu'il a été, un lien établi ne se défait jamais. Tous les évènements qui se passent dans ta vie ont un sens. Alors souviens-toi. XXXHolic __ Dans la haine, on peut concevoir de la colère, de l'injustice, un sentiment d'incompréhension, un rejet total de ce qui nous entoure, de nous-même. Chaque être, un moment où un autre est confronté à ce sentiment. La variable est qu'on possède tous une manière différente d'agir face à celle-ci. Parler de la haine, c'est la conscientiser mais également l'introduire dans la tête des gens, la propager. Mais si on ne la sort pas de nous, on l'enfuit au fond de nos coeurs et cela crée de la frustration Comme un professeur qui passe ses nerfs sur un gosse qui semble avoir du mal à se faire comprendre. Ça détruit une vie. Certaines personnes ont la capacité de ne "rien" ressentir, de laisser aller. De lâcher prise. D'autres, au contraire, se lamente, et tourne en boucle. Chaque personne est différente. Le plus important, je pense est de comprendre et de faire comprendre aux autres le pourquoi de ce sentiment. Parfois, on ne peut pas agir, et parfois, faut se lever, et défoncer les murs. Chaque être humain, souffre. De son vécu, de son environnement. Et c'est comme ça. Faut trouver un équilibre. __ Je m'étais dis ; Que je n'irais beaucoup de choses que je dois faire. Mais que je notais jamais mes achievements ; Ce que j'ai réussi à atteindre. Au lieu d'envier l'inatteignable ; Voir et contempler ce qui se trouve sous mes yeux. Apprécier le moment. Apprécier l'environnement. __ C'est beaucoup de responsabilités l'existence ; __ Pourquoi vivre si on finit par perdre la mémoire ? Acquérir des expériences, collecter des choses, observer la vie ; Chaque être finira poussière. La fascination du morbide, de ce qui est laid, l'inverse du sublime; l'attirance envers ce qui nous repousse... Faire le deuil de ce qui nous attend. Faire la paix avec la mort. Trouver la tranquilité dans le vide, le chaos. Le silence. Paisible. Ne plus penser, méditer immobile, inspirer au plus grand calme de l'âme. __ Nuit d'automne Ambiance chaleureuse Les hommes masqués Jeunes en enfilades Quartier délabré La rue sale et les feuilles craquent La pluie le reflet embué des vitres Reflètent la mélancolie/descente/crise de Bxl Hell Observation Feuilles fractales Comme les motifs du bois Les gouttes d'eau Bxl bétonnée Les murs sont froids Embuées sont les fenêtres Des jeunes sur leurs portable Déconnecté __ Le plus dur était de se rendre compte de sa santé, qui se dégradait au fil des années. C'était le fait de vivre dans un corps fragile, osseux et lourd ; écrasé par la gravité. Se sentir entassé dans une structure, de chair, de tuyaux, de boyaux, de tissus nerveux, une masse musculaire, qui à la mort, se décompose. __ Tout est une suite logique de conséquences mises ensemble pour former l'entièreté de ce qui constitue notre être. __ T'étais beaucoup trop près du gouffre. Tu côtoies la mort, tu ne sais plus trop si t'es bien encore vivant. Tu ne te reconnais plus. Parce que tu ne t'es jamais vraiment connu. Mais t'étais la source de ton propre mal-être ; et tu te noies dans les profondeurs de la folie. Ton coeur était rempli de haine. __ Elle est bien devant toi la réalité, Celle qui t'observe Et toi t'es là, Tu ne t'es jamais senti aussi perdu Dans un univers qui ne cesse de s'étendre, Tu es si fragile __ Constamment sous pression L'avenir s'avère est très sombre __ Il est temps de déconstruire. De défaire toutes les opinions reçues. Si tu prends du recul, face à une situation, tu peux percevoir toutes les perspectives de pensées choisir; cependant le choix est une prise de position mais là où est votre trésor, là aussi est votre coeur, et il se trouve là où bourdonnent les ruches de nos connaissances. C'est vers ce coeur que nous sommes sans cesse en chemin. En véritables insectes ailés qui butinent le miel de l'esprit. Le corps et l'âme sont des éléments détachés, selon les penseurs. Cette enveloppe corporelle nous garde prisonniers dans cette réalité. On est en quelque sorte soumis à des désirs et des craintes, en pensant que c'est bien ou mal. __ Voici une échappée de la ténébreuse usine qu'est l'homme. L'aspect de l'homme nous lasse. Nous sommes fatigués de l'homme, provoquant une neurasthénie, une paralysie de la pensée libre, une asphyxie morale. Notre imaginaire collectif est fondé sur des principes incertains, de fausses opinions qu'on considère véritables. Cette faculté d'adaptation, menée sous pression, engendre dans notre cerveau des connexions qui se structurent de manière générale et obligatoire. Ces idées que l'ont se créent sont influencées par notre coeur mais aussi par les circonstances extérieures comme notre environnement, notre entourage, notre manière de concevoir la réalité. Nous vivons dans une fiction. Et tu écris ta propre histoire. __ Témoignage d'une scolarité décevante par la remarque déplacée : Je me souviens de cette année là, c'était la période du COVID, j'étais inscrit comme étudiant à l'ERG. En réalité, j'ai toujours été un bon élève. Attentif, rigoureux, plutôt discret. Et j'ai été blessé, par la réflexion frustrante d'un prof. Mon option était illustration en narration, et en tant qu'humain sensible et introverti, ma qualité à exprimer les choses était plutôt médiocre, à l'époque. Je voulais justement m'entraîner dans ce domaine, dans l'expression écrite. La période de pandémie a été très compliquée pour nombreux d'entre nous. J'entendais mes voisins péter un câble à force de rester enfermé chez eux. De mon côté, j'ai beaucoup travaillé. Notamment sur l'idée du paradoxe, j'ai créé un site web avec mon ami colocataire et nous l'avons nommé " Oxymore ". C'était une très grande avancée pour nous d'avoir créé ce mini-jeu, même si il était bugué et par nos premières expériences de code handmade. Nous y avons mis notre coeur et âme, nous nous sommes accordés. Mais les professeurs étaient réticents à la technologie et à mon univers ou ma personnalité en général. Je pense qu'ils n'ont même pas essayé de comprendre notre projet ni pris conscience de la dose phénoménale de travail et de temps passé derrière. En fait, une phrase m'a marqué, c'était un rdv vidéoconférence sur zoom et une des profs s'est moquée de moi en disant "ouai ouais, la vie est une fiction". Ca m'a fait réfléchir. Il était probable que l'être humain se réfugie dans une zone de confort, dans ce qu'il considère juste pour lui. Lorsqu'on s'attaque à sa vérité, il est déstabilisé. Et les adultes, les ainés pensent souvent savoir mieux les choses que les jeunes. Forcément, il y a une différence d'âge, d'expériences, mais la société évolue et les jeunes sont tout aussi sensibles au développement. La réalité est pour moi comme une fiction (définition : lat. impérial fictio « action de façonner; action de feindre » Une fiction est un espace plus souvent imaginaire que réaliste qui peut servir de cadre pour le récit d'une histoire.), car nous sommes seul dans notre tête, à comprendre, à imaginer ce que représente pour nous la vie, à façonner l'image de notre univers. Je suis quelqu'un de plutôt terre à terre, peut-être un peu rêveur, mais conscient. La fiction est un moyen de détachement de la réalité à vif. Lorsque un humain prend la réalité comme sa vérité, aussi injuste que la vie peut être, il est forcément mal dans sa peau, frustré par la vie. Alors il refuse de voir les jeunes rêver un peu plus longtemps qu'eux. Dans cette jalousie d'instructeur, il va tenter de façonner ses élèves comme lui conçoit la vie. Alors, je ne soutiens pas les adultes frustrés. Bien que nous soyons tous sensibles à l'injustice, à l'environnement, à la pression du temps. Il n'y a pas de pardon pour ceux qui détruisent les autres. __ Y a ceux qui font semblant de comprendre, ceux qui font semblant de ne pas comprendre. Mais même quand on se trompe on peut avoir raison. Avec plusieurs mensonges et plusieurs vérités, on peut arriver à un équilibre miraculeux. __ Il n'y a que par la folie Qu'on retrouve la raison Quelque part la raison La raison de vivre Il faut s'accrocher à quelque chose pour sortir d'un état d'esprit Une image, un rêve, un lieu Peu importe. __ Existence Être : fatale abstraction. Regarde autour de toi, comment le monde est beau. Non. Comme ça vit. Comme ça meurt. Être à se quitter. C'est ainsi que nous sommes. Des dieux immobiles nous regardent périr, nous les fixons décédés. C'est ainsi que les hautes ombres nous nomment : êtres. __ Comment peut-on savoir qu'on va vers la bonne voie ? __ Le culte du mal s'est beaucoup encré dans l'esprit , l'attrait du mal éveille la curiosité allant parfois jusqu'à l'admiration mais cause des conséquences qui sont irréversibles intimement relié à notre façon de penser. __ Quand je vois ce que l'humain a pu anéantir, quand je vois ce peu de respect et de bonté, ce manque de valeur et de conscience. Notre cerveau est réduit jusqu'à ce qu'on le mette dans des écrans, manipulé pas les Géants qui nous dirigent, la société nous rend aussi froids qu'une machine métallique inerte. Mais tout au fond de nous, il y a un coeur. Rouge merveille et saignant, chaud et vivant, si fragile à la lumière et si précieux qu'un joyau. Ne l'oubliez pas. __ Pensez-vous avoir le contrôle ? On ne contrôle pas ce qu'il y a dans sa tête. On ne contrôle pas ce qu'il y a autour de nous. Parce qu'on est conditionné dans ce monde qui nous blesse. Parce qu'il faut trouver une putain d'raison d'vivre. Ma tête a explosé, ce soir-là. De ses maux, on découlé du regret. De la culpabilité. De la peur. Maintenant, il ne reste qu'à guérir les blessures." __ Tout comme la totalité de l'espace est remplie par les rayons du soleil, la totalité de l'existence, avec ses systèmes galactiques, ses soleils, ses dieux et ses hommes, est rempli par la réalité elle-même. C'est un champ pour la manifestation, le jeu, l'expression et l'exubérance de la réalité. Le cosmos est toujours là et vous le voyez toujours. Les maisons, les arbres, les champs, les humains, le soleil, la lune et les étoiles sont tous là, tout comme avant, mais ils sont maintenant remplis par la réalité. Vous voyez en même temps le cosmos et la réalité, l'un ne fait pas obstruction à l'autre. Vous voyez le cosmos, vous voyez la réalité. Vous voyez la Réalité, vous voyez le cosmos. Le cosmos est la réalité, la réalité est le cosmos. Dans l'esprit Éveillé il n'y a pas de réaction subjective, pas d'attachement subjectif ; il y a une objectivité pure et parfaite - tout comme un miroir réfléchissant tout ce qui existe. __ Le copyright limite n'importe quel individu à créer quoique ce soit alors que rien n'appartient à qui que ce soit. Tout ne devrait appartenir à personne. Et l'humain devrait se concentrer sur l'idée du partage, d'ouverture d'esprit pour créer des choses meilleures. C'est parce que la société dans laquelle nous vivons promouvoie que le copyright est une bonne chose alors que d'un autre point de vue on peut penser que le copyright renvoie une histoire d'argent et de possession, d'appropriation de quelque chose... C'est une idéologie qualifiée d'individualiste. Copier les dessins des autres à des fins commerciales, non. S'en inspirer ? Pourquoi pas ? Chaque personne a son système de progression. Je prends un exemple, quelqu'un copie ton dessin. Forcément à première vue, ça fait chier. Y a des artistes qui bossent comme des dingues et d'autres qui ne comprennent pas tout l'effort mit derrière ; on ne vole pas la création de quelqu'un, ni son savoir. Ni son savoir-faire. Cependant, demander l'autorisation de s'en inspirer, soutenir l'auteur dans son oeuvre, collaborer (!!!) n'est pas un coup jeté dans l'eau ?! Il faut comprendre, qu'on doit se soutenir. En tant qu'artistes, c'est grâce a cette "communauté" qu'on s'instruit et qu'on évolue. Ne laissez pas cette pensée invidualiste vous envahir. Partagez. __ Dans le coeur déchiré par les souffrances et hontes sans noms, ruisselle des âmes de force sereinse et emplies de bonté. Sans même qu'on ait besoin d'interroger, nous lisons dans leurs yeux, à travers l'histoire de leur intonation, que jamais la vie n'a été plus épanouissante - que dans leurs peines. Il s'agit d'être grand et non de le paraître. __ E. posa ses mains sur les épaules et me dit : "Tu t'inquiètes trop." Et cette phrase dissipa mes incertitudes. J'admirais sa capacité à exprimer les choses, ses sentiments vis à vis d'une situation qui l'angoisse ou lui plaît, ses coups de coeur ou ses mécontentements. Sa manière fluide de faire passer un message qui marque, des expressions familières, des intonations impressionnantes. Peut-être que j'avais de l'admiration. Je voulais aussi étonnamment pas me sentir trop impressionné : je veux l'égaler. __ " Les bonnes influences n'existent pas, Monsieur. Pourquoi ? Parce que influencer une personne c'est lui imposer son âme. Elle ne pense plus ses propres pensées ni n'ont de réalité pour elle. Ses péchés, si la chose existe, sont des péchés d'emprunt. Elle devient l'écho de la musique d'un autre, elle joue un rôle qui n'a pas été écrit pour elle. Le but de la vie c'est de s'épanouir. Réaliser à la perfectionnement notre propre nature, voilà pourquoi chacun d'entre nous est là. De nos jours, les gens on peur d'eux-mêmes. Ils oublient le plus important de tous les devoirs : le devoir envers soi. " Le portrait de Dorian Grey __ S'établir dans la solitude L'être isolé convient de se débrouiller seul, libre de ses actes, il façonne son environnement et adapte son coeur à supporter qu'il ne dépend de personne. Bien sûr cela ne signifie pas pour autant qu'il rejete l'autre ; bien au contraire, il peut être très attentif à ce que son entourage ressent. L'artiste sensible créée et livre une partie de son âme à son art. Sa détermination et son expression figurent dans la recherche constante de ses pratiques et révèlent des secrets qu'il ne manifeste pas forcément. L'être conscient est capable de développer son apprentissage, d'écrire, de s'instruire, d'affirmer, de refuser. Il est capable d'agir en conséquence ou de ressentir des regrets, de réfléchir, de s'excuser, d'avancer, de tendre la main. Il y a beaucoup de travail. Toujours. _____ Lettre à l'absente "... Les amis désertent, [...] Je me refuse à évoquer mon chagrin et je leur en veux de ne pas m'en parler. Pourtant la plupart d'entre eux ne savent rien du mal qui me cisaille. [...] En pleine conscience de mes ambiguïté, je les laisse partir. [...] Un jour peut-être, après cet automne, après l'hiver qui ne s'annonce guère engageant, après le printemps qui suivra, peut-être l'été sera-t-il plus généreux que celui de cette année. Si cela ne suffit pas, j'attendrai un nouveau cycle pour que reflambe le feu de bois de l'amitié. Que sont devenus mes complices ? Indifférents, pudiques, inattentifs [...] ___ J'ai peut-être certaines addictions Celles aux réseaux sociaux À défaut d'être seul De vouloir être seul Je me mets en scène socialement sur des réseaux Pourquoi ? Pour prétendre être vivant Pour prétendre être heureux Pour prétendre avoir des intérêts Peut-être bien que j'y crois En ce bonheur artificiel __ La terre qui est la mère de la nature est aussi leur tombe Roméo & Juliette, Shakespeare __ Nonchalance : manque de vivacité Véhémence: vivacité Léthargie : Sommeil profond et prolongé dans lequel les fonctions de la vie semblent suspendues. " Léthargie de l'habitude" __ At my funeral, take the bouquet off my coffin and throw it into the crowd to see who's next. __ Les humains qui se ressemblent finissent par rester ensemble, n'est-ce pas ? Ce sont des gens importants pour moi. Je souhaite les garder dans mon coeur, pour toujours. Mais sans brusquer les choses, je devais me convaincre d'une chose : être sûr de mes choix, sans laisser trainer le doute. Très naturellement, sincèrement (Seigneur, il parle tellement) Je ne veux pas gâcher l'amitié que j'entretiens avec eux. Je ne veux délaisser personne... Peut-être que j'avais encore quelques petites choses à régler Je suis très attaché à eux L'amour que j'éprouve pour eux est respectueux, amusant et sincère __ It's like a game with you, but I always lose. I want to hold your gaze To cherish it Feeling the reality The intense calm of the loneliness Flowing in the veins Anxious heartbeat and shallow breathing A gentle kiss We're soulmates It's destiny Will you let me show you passion ? Love is pain And pain is love I just want you to know, You're a dream come true It's like another game, and I'm losing again Same old game, I'll never win. I believe in soulmates But we don't fall in love, We're just desperate __ Il existe une réponse à ce qu'il avançait, mais je ne la trouvais pas. __ C'était involontaire, déséspéré, compulsif. Le Chardonneret __ L'écho d'un violent silence Qui raisonnait et raisonnait Dans ma tête * L'écho des maux __ Lorsque j'apercevais quelque chose qui me faisait penser à toi, l'entièreté mon esprit était violemment bouleversé. Mon corps réagissait au lien affectif créé entre le souvenir et la dépendance de ta présence. __ Et alors on se défoulait sur nous-mêmes, On tirait des longues lattes délibérément sur nos clopes, On buvait du poison, On s'intoxiquait le corps, On négligeait le sommeil Pour écourter nos vies Et si l'antidote était en fait notre poison ? *** Quand le calme était revenu Sans bruits et la blancheur bienvenue La pureté de l'éclat sans rage Blancs et intenses étaient les nuages Des soupirs dans le creux de la main Des cauchemards monstrueux au matin Se dissipent à l'écho soudain J'entendais mon nom Mes sentiments m'horripilaient J'essayais de ne pas avoir trop de regrets __ Affligé par les peines Accablé par le manque de sommeil Les insomnies sont là drogue la plus puissante que je n'ai jamais découvert Un nouveau monde d'offre à toi Une légèreté délirante ou les maux ne semblent plus être réel Une déréalisation totale Loin de l'état d'esprit auquel j'étais Délirant dans ta tête Mais bientôt les aiguilles s'aligneront Face à ton destin, inévitablement Tu t'allongeras Las, confus et froid Comme un chaton à moitié mort Lamentable position et suant Tu songes à te tirer une balle dans la tête __ Sur le poids de l'existence La masse pesante De la tombée de la nuit Aux premières gouttes de pluies Entre les murs effrités L'espoir de partager un thé Des broderies vieillies, Ternies par la poussière Il n'y a rien de plus triste Que de contempler sa vie Par l'oeil qui voit tout Les sautes d'humeur, les hauts-de coeur La négligence, l'abandon La solitude, la destruction Les lettres oubliées, L'âme blessée Par la compagnie déplaisante, De mes pensées humiliantes, Je passais des nuit Cherchant des fougères Collecter la mort dans la vie La vie dans la mort Du plus petit morceau de souvenir Du soupir lent lorsque tu me mords S'isoler dans les livres Mes délires puissants, totalement ivres S'ouvraient pour moi un bonheur Dans lequel y planter mon coeur J'ignorais tout du monde Et la vie m'a percé D'aiguilles et de sondes Pour mes détresses incensées De l'aide j'en avais besoin Passé au delà des émotions, les enfuir bien loin Dans le déni de la douleur Un pansement sur le coeur Léger, les mots planaient Personne pour soigner les plaies Des maux placés sous le lit Autant vivre l'instant de la vie Nous verrons ensuite Si ma passion deviendrai archétype Malgré tout, je resterai un prototype Terrassé et rongé par les mites. __ Those eyes worry me. Cool and clouded. They continually change and waver. __ La solitude permet à l'esprit de se retrouver, de se reposer, d'être dans le calme. L'importance de prendre du temps pour soi, de se concentrer sur ses idées, ses propres opinions et réflexions. Le silence est respecté, et cela permet de se rendre compte de la tranquilité d'esprit, de pouvoir déstresser pour organiser sa vie au mieux. Chacun possède son rythme et agis selon son comportement, ses habitudes. Tout ce qui constitue une personne est lentement construite sur des bases que chacun a vécu et a mis en place par ses propres moyens. Nous nous retrouvons inévitablement confrontés aux autres, car si nous sommes constamment isolés, nous ne découvrons pas le monde extérieur. Hors il est important, de permettre aux pensées internes de s'extérioriser pour comprendre notre place dans le monde. Nous pouvons nous passer des autres, tout comme nous pouvons vivre avec. La société individualise les êtres humains qui se retrouvent de plus en plus à se débrouiller seul. Mais si nous ne communiquons pas, si nous faisons nos petites actions dans notre coin, nous avançons moins vite. Chacun à tes capacités propres que d'autres n'ont pas et qui parfois sont sollicités. Seulement il faut le savoir, et arriver à affirmer ses capacités. L'importance du partage, de l'ouverture d'esprit et de la conscience développe l'esprit humain et son potentiel à vivre en communauté. Le respect est la base d'une bonne entente lorsqu'on souhaite échanger. __ Éveil Désordre Personnalité Choix Conséquence Illusion Attraction Souhait Chaos Vérité Valeur Aphorisme Potentiel Espoir Univers Synchronicité Opuscule Néant Vide Plein Lumière Obscur Successions de hasards Coïncidence étrange Rêve Humanité Vie Moteur Âme Libération Lucidité Clairvoyance Réalité Confiance Croire __ Il y a dans l'engendrement du système de la société, un déraillement lent qui nous pousse dans l'ombre grise de la technologie. À l'échelle du microcosme, l'écroulement est brutal et inévitable, tout comme l'Univers qui s'expand à l'infini, le macrocosme perçoit le mouvement des planètes à son échelle, délicat et pesant par sa propre masse. Le monde contemporain s'engouffre dans une lourdeur métallique où l'être humain dépend d'un écran lumineux. Les informations lui tombent directement dans les mains et il perd sa capacité à gérer son temps hors de la vue de sa machine. Mais la machine, permet un avancement plus rapide et si on s'en sert comme un outil, peut nous aider à atteindre une grande connaissance. Comme la logique grandissante d'une intelligence artificielle peut soutenir à mener un projet plus abouti et concret, si le cerveau humain se sert de la technologie pour créer. Si nous supposons que certains mécanismes de la vie sont un ensemble de calculs complexes, alors l'humain si il comprend cette logique peut lui-même amener à créer quelque chose de complexe et logique. Son intelligence va le guider vers le futur, et ses choix et ses conséquences, vont contribuer au monde. Le digital peut prétendre être matériel, tout comme la pensée. Il s'agit d'éléments qui existent, et la manifestion intérieure s'extériorise par des manifestants conscientes ou inconscientes. Dans la constitution d'un appareil, les mécanismes mouvoient des éléments solides pour provoquer une action, maîtrisée par une force. __ Le sentiment d'être insensible au désordre du monde Se satisfaire par sa contribution au monde, sans en faire trop pour ne pas être déçu ; Parce que chaque humain est complexe Chacun possède un potentiel et évolue selon ses décisions, le chemin qu'il emprunte Il n'y a rien qui n'est ni bon ni mauvais, parce que les règles du jeu nous sont inconnues Chaque situation est différente et se tisse par des éléments existants La réalité est telle qu'elle est, nous avons peu de maîtrise car elle est fondé sur des éléments existants et dont le hasard n'est pas forcément une coïncidence Chaque chose est étroitement liée La perception est différente dans l'oeil de chacun __ Parfois il arrive que l'attraction aux autres se mélange à la passion et émerge alors le désir. __ The last thing I see are Clear's eyes, staring into nothing. ... I open my eyes to a world of white. White ceiling, white wall, white floor. This is cold. Clinical. (Maybe it's the beeping that makes is feel that way ) I can't move, so I just stare vacantly at the ceiling. Tubes surround me, piercing my flesh, a swarm of tiny, hungry snakes. The tests... The tests are endless. I've lost count of how many times they've cut into my body. The pain was... Excruciating, I recall. The memory is distant. I no longer feel anything. All I have is this white world, empty, cut off. Here, life and death are the same. __ L'être humain se retrouve face à l'existence et doit, par ses propres moyens se gérer, s'arranger avec tout, avec l'intérieur comme l'extérieur, avec l'amour, avec la haine, avec la peur, avec l'envie, avec les autres, avec la morale, avec les pensées, avec l'univers, avec la vie, avec la mort. Il doit subvenir à ses besoins, savoir agir au bon moment, faire des choix, mener sa vie de manière juste. Prendre en compte tous ces paramètres et trouver un équilibre, trouver sa place. Rien n'est certain. Tout est possible. Il y a dans l'enrôlement forcé de se trouver dans l'existence, la conscience de sa forme, de son potentiel, sa masse et des liens entre son corps et son esprit. On peut se donner les chances de réussir, d'accepter, d'intercepter les éléments, de comprendre. Prendre son temps, exercer, déconnecter. Se mouvoir dans le monde, décider de rester. Partir, décider. Être irrésolu, indécis. Heureux ou malheureux. Nous avons le choix d'entraîner notre propre être, d'aiguiser ses connaissances, de prendre plaisir à nos intérêts, nos passions ; il est important de se connaître. " Connais-toi toi-même". L'être humain et ce qui constitue son caractère témoigne de son vécu, des circonstances de sa vie, de son environnement, de son histoire et expérience personnelle. On ne peut se détacher complètement de son passé car c'est ce qui nous permet de tenir debout. Chaque situation est différente, mais le développement de chacun dépend de ce vers quoi l'humain porte son attention. On peut caractériser les moments psychologiques de sa vie, par des états d'esprits et des périodes qui varient en fonction de ce qu'il est en train de vivre. Le recul sur certains points d'encrage permet de réfléchir à une situation sans être dans le vif, le détachement est un élément essentiel à ce qui permet de poser une réflexion. Évidemment, chaque être évolue, se cherche, se développe en soi, à travers ses yeux et les yeux des autres. Les émotions humaines existent pour manifester des ressentis, qui deviennent réels et importants à la compréhension de soi et des autres. __ There's nowhere you can hide anymore; You have to assuming you're living here, with others, in society, in this world, with yourself. Knowing how easily replaceable i am - forget me not, too fast Give me a chance I can be better I can be better * When everything is falling apart, And your situation is getting worse and worse There's nothing left But destruction Loneliness Despair Sometimes you can't Just can't Do anything But laying down And wait until It ends. Suicide is a proof of living... __ Écrire. c'est placer des termes, des marques, une position à un moment present. Dans les ecrits, il peut y voir une impulsion, un sentiment e dégénérescence qui se degage de ton energie,,, non j'suis extra pété __ ligne 25 Ornamental exe ~~~* -- 01 -- *~~~ | Dear, | | | . . | | | | ~~~* -- • -- *~~~ - Abernathy __ Good lord the atmosphere is weird __ Trees are melting, Technology is eating Us alive, they crave into the flesh hungry little swirles Don't leave me alone The city is like a dome All my energy is been swolling up help me help me help __ TERROR STILL HUMS Terror is Beauty Beauty is Terror __ C'était un garçon qui venait des étoiles Il n'était pas imposant, plutôt discret et pas très grand Ses yeux étaient clairs et sa peau bien trop pâle Il semblait ailleurs, le regard absent ; Du bout de ses doigts il créait des miracles Du son de sa voix émerveillait les gens Sa lucidité guidait comme un oracle Il n'avait pas conscience de son talent C'est alors que sa gueule d'ange fut arrachée Par le pouvoir des autres, il fut manipulé Utilisé, blessé Et laissé, misérable, seul et épuisé. Son âme fut souillée, Son ombre fut déformée Sa lumière s'est essouflée Sa triste histoire finira enterrée C'était un garçon qui venait des étoiles Il n'était pas imposant, plutôt discret et pas très grand Ses yeux étaient sombres et sa peau bien trop pâle, Il semblait ailleurs, le regard vide et absent __ Il voulait s'imprégner de l'étrangeté de la vie __ Nous sommes fait de l'essence des rêves Dors bien cher prince... Le reste appartient au silence. * Hamlet, Shakespeare __ Et pourtant, j'étais bien là. Vivant après tous ces désastres, Dans la position dans laquelle je m'étais précisement foutu Le monde tournait et je demeurais là, irrésolu, inerte... Sans bouger, sans faire bouger les choses. Agir était au-delà de mes forces. Je cherchais de l'espoir. "Bien sûr que je m'en remettrais. Relève-toi et bats-toi." __ Pas un chat, pas une lueur d'espoir, Seulement les ruines de ma colère. Et ma fidèle solitude __ Si seulement il m'était permis d'espérer. __ La reconnaissance que je vous ai, je ne saurai vous l'exprimer. Je vous le prouverai ! il s'agirait de faire quelque chose pour vous que je mourrais pour le faire. __ (...) il laissait transparaître dans sa vie ce que tant d'entre nous dissimulent au fond inavouable de leur cœur. __ ok, this is absolutely out of subject but i needed to wrote lines about Nitro+Chiral new game and especially about the manga: Slow Damage. There is 12 chapters only from now and holy. fucking. shit. At first sight i was a little bit disappointed by the game, the characters mostly. But the main character, Towa, a painter is the most interesting, i thought. Then, there are many others side characters that aren't showed up on the trailer that look interesting. About the manga, there are a lot of unhealthy themes, including self-harm, torture, addiction, vices,... Even the main character is so unhealthy... but still kind of inspiring. If you take it too seriously (like i do, because even if it's pretty bad, i am inevitably touched by it) it can be quite dangerous for your own mental stability, because it somehow damages your brain, lol. I used to romantizing a lot, lately. Having obssessions on immorals things, actually exploring the limits. And i can tell Slow Damage is a part of the very dark art piece that aren't for everyone. The fact that, the taste for fights, drinking absinthe, cutting the skin, prostitution, body modifications, searching vice in an artistic way, can be designed as immoral, they are things that exist, and people still doing it. As human beings, we're all looking for what we could love. We inevitably discover random things. Sometimes we fall in love with the wrong things, but it's a part of us. The curious one will try to understand why the bad things are so bad, and this act of intelligence can develop interests in morbid obsessions. Actually, this is what happen when a lonely soul wander and find something. They cherish it, because it's all they have left. This world is so full of elements. And we find and collect things we found on our routes. This is how we build ourselves a personality, a character and our interests. This can be the chance of our environment, of the circumstances in which we find ourselves. Let's talk back about Towa and the first partner he has an experience with him : Phrase, Fraise or Ikuina. The florist who post on a blog, digital paintings that look like sliced arms. This subject shooks Towa, and also the reader. This is uncommon. There are many people, in this world who had crossed the line between the external world and the thin layer of skin to blood. The actual human blood is. so. red. So vivit. So triggering. We all own blood, different blood. (Have you ever taste the blood of someone ?) The last scene is literally about what mean this inflamed attirance for the wounds, cuts and carnal heat. This is a way of love, of deep desire and curiosity about pain. I'm fond of psychological experiences and what can be used as transportation of the spirit to the heavens. Using different ways to make you feel alive. This is interesting. All ways are interesting. Desperate ways, the most close to tearing your soul apart, to have nothing to lose, but yourself. This is definitely interesting. Identifying what make people so desperate, their past, interests, desires is a part of their singularity. Every person develop their own character and has their own growing and hidden thoughts Anyways. Slow Damage is such an immoral creation and the creators did a great work and developed interesting morbid themes and characters. Looking forward the next. __ Rien n’est si pénible à l’âme qu’un changement trop soudain. __ Parfois il arrive que l’attraction se mélange à la passion et émerge alors le désir. __ ooook so today i went at a coffeeshop and i tried my best to act normal (full well dressed like a romantic dandy holy shhh- long brown velvet jacket, black striped slim trousers, white shirt and even a pullover with a very fancy gold and green crown acronym - after a job interview) and my attempt to ask a coffee with coco milk without biting the tongue was, very blurry. I sliiiide in a unoccupied place and calmly, red Hamlet. In the quietest corner of the super small coffee place - oh good lord i was lucky to be on the corner REALLY - Then leading to my old school to print some flyer for the writing atelier of this Friday. excited, stressed. It was a disappointment at that school, the secretary service is pure shit, but i took my balls and asked some people to help me. Even saw some old people i know. Lowering your head when you pass by them is very embarrassing. I can't help it. Some things will never change. __ Il n'est pas évident de mettre de l'ordre logique et concret dans ses accumulations de données. Par où commencer ? Par quoi commence-t-on ? Il y a forcement un début quelque part, des éléments qui nous semblent évidents. D'où provient l'origine de notre être ? (Vers quoi nos pensées sont-elles inévitablement attirées ? par les choses que nous connaissons, qui nous semblent familières, que nous avons connu dans notre passé, peut-être ) Il est tout aussi compliqué d'affirmer les choses sur lesquelles on hésite, qu'on tourne et retourne dans les points de vues dans tous les sens possibles et inimaginables jusqu'à s'épuiser et décider de ne rien faire. __ Recently I found out that I am not physically doing well. my body is weak, acid and i don't eat properly. My sleep schedula is very short and I'm spending way too much time on the web. I have many projects, i want to isolate myself. To concentrate. I spend the evening outside, to help, and it was chaotic. People are such a mess, like children you have to take care of. And i am suchlike them, my reactions are too slow, i am a disappointment. everything was a mess, and i feel like it was my fault. __ So i wanted to let out my frustration. I started a visual novel, it's called Sweet Pool. The musics of this game are very good, and so are the illustrations. I felt comforted. It's a very good friend of mind who send me that reference, i am very thankful to know them actually because i feel less alone now. I have kind of weird obsessions lately, my heart is hollow. __ I want to create a page, a carnet, a web journal with all my aphorisms, and citations grouped together. I think it's going to be a web book, with a tiny scroll bar in the center of a image in a limites square with two linked images on both sides. page 1 will be the real cover look, then page 2 the start, page 3 the start of the book, page 4 the dead end page, page 5 the hope, page 6 the light of consciousness, page 7 the luck, page 8 the universe, page 9 everything, page 10 whatever... __ Also I have to create 15 sheets of researches for a lesson. An antiques cursus constitued pf visits, pictures, references and developments about an item. We have to work on a carnet format, and integrate real photography (tiny ones i suppose ?) I want to write things by hand obviously, but I have to calculate where and what I can write by computer. What is a a4 format i can use in a html page, and what kind of printing technique i am able to use without losing too much time. Because the work is pretty important, and I want to do it right, and the deadline is already given. __ Deux choses instruisent l'homme de toute sa nature : L'instinct et l'expérience. L'instinct est l'aspiration du bien, souvenir de notre perfection primitive ; L'expérience est la connaissance de notre misère, de notre chute. ___ Erato est la muse de la poésie lyrique. Elle est représentée sous les traits d'une jeune fille ou nymphe enjouée, couronnée de myrte, de rose et pinçant de la lyre. __ Dans la mythologie grecque, Acanthe (Akantha) était une nymphe. Apollon (dieu des Arts, de la poésie...) voulut l'enlever et elle le griffa au visage. Pour se venger, il la métamorphosa en une plante épineuse qui aime le soleil, et qui porte depuis son nom. __ « Les orgies et l’ivrognerie viennent de la gourmandise ; les grossièretés, les bouffonneries, les moqueries et les sottises, naissent de la luxure ; l’avarice engendre le mensonge, la tromperie, le vol, les faux témoignages, la recherche de gains malhonnêtes, les violences, la dureté, la cupidité ; la colère suscite homicides, clameurs, indignations ; la tristesse enfante la rancune, l’amertume, la pusillanimité, le désespoir ; l’acédie fait naître l’oisiveté, la somnolence, l’importunité, l’agitation inutile, le vagabondage, l’inconstance, corporelle ou spirituelle, le bavardage, la curiosité ; la vaine gloire est la mère des querelles, des sectes, de l’arrogance, du parti pris pour les nouveautés ; quant à l’orgueil, il produit le mépris, l’envie, l’insoumission, les blasphèmes, les critiques, le dénigrement. »µ Acédie : L'acédie est le nom couramment donné à la paresse dans les listes des sept péchés capitaux ; Terme savant calqué du grec et employé dans le domaine moral, religieux et psychologique pour signifier un manque de soin pour soi-même ou pour sa vie intérieure. La conséquence de cette négligence est un mal de l’âme qui s’exprime par l’ennui. C'est « l'engourdissement du cœur ». Elle est une forme de dégoût, de paresse. Dégoût pour le travail, pour sa demeure (lassitude), envers les autres... L'être pris d'acédie se plaint de ne pas arriver à travailler, mais reporte la faute sur son environnement. La pratique hésychaste consiste à acquérir la paix et le silence intérieurs et à s'isoler de l'affection des sens physiques. L'isolement peut être physique : c'est fuir le monde et son agitation. Mais cet isolement est vain, s'il n'aboutit pas à la capacité intérieure de se retirer en soi-même __ 7% niveau de batterie Un son répétitif au fond d'une pièce d'un appartement Lumière absente Un calme plat Le garçon se leva Téléphone en main, un bruit sourd tomba au sol 5% de batterie Les pensées troubles, Yeux secs et fatigués Délectation d'une sieste Un chat noir observait dans l'ombre Une mésange passa par la fenêtre Une araignée au plafond Comptant sur ses doigts Comme un enfant rongé Qui attend __ Le mouvement L'attraction Le désir / L'amour L'art Le combat L'idéal __ Le problème principal c'était les insomnies ; la confrontation à l'inconscient, à l'état de mort. Récemment, la mort se manifeste de plus en plus. Qui sera le prochain à finir sa vie ? Ce monde s'est transformé en cirque observé par de nombreux spectateurs. La peine faisait errer les âmes touchées, et l'aide dont ils avaient besoin n'était pas de ce monde. Je ne ressentais plus rien, et rien ne me touchais, la fatigue me terrassait, je n'avais aucun désir, aucune envie, rien. Rien que le néant, l'oubli, le vide, le silence. Le pire, c'était de se sentir coupable. Du mal être de quelqu'un. De ne pas être à la hauteur d'avoir pu soutenir une âme fragile. Comment vous sentez-vous ? Ne restez pas isolés. "On est là pour toi." __ Un soleil, des nuages doux, dans un nid douillet confortable. La lumière illuminait sous la fenêtre, près du divan. La jeune fille sortait un soir glacial. Bleue était la nuit, son écharpe était douce. Les pavés étaient humides, dans un aquarium nageait les poissons. La baignoire se réchauffait aux flots Doucement Dans une bulle, étouffé par le son La dernière musique Le dernier son Le point final Dehors, la brume émergeait dans la ville. Le froid emplissait les maisons. Les fenêtres embuées reflétait une bougie. La vérité était le seul chemin. La réalité est unique destin Le monde Les actes sont irréversibles __ Oui. Ça va aller. Ça va être dur encore un moment. Mais ça va aller. C'est le problème du suicide. C'est qu'on ne connait jamais notre impact sur la décision qu'à prise la personne. Il y a deux choses à prendre en compte : les gens qui prennent la décision de partir Et celles qui restent. Quand on a pris une décision de quitter ce monde. Quand on l'a vraiment prise, tu as peu de chance de changer cette décision. C'est un choix égoïste même si il est compréhensible. C'est une décision pour soi. Point. Pour les autres, c'est eux qui vont se prendre la tête du pourquoi, du comment... Je ne dis pas de ne pas y penser, de ne pas y réfléchir. Je tiens à dire que la seule chose que j'ai réussi à comprendre avec ce genre de moment, c'est que si la personne voulait de l'aide, elle l'aurait demandé. Si elle ne l'a pas fait, c'est parce qu'elle n'en voulait pas. Soit parce qu'elle était fatigué de se battre, soit parce qu'elle ne voit plus de solutions Et c'est dur de montrer de la lumière a un aveugle... J'ai l'impression qu'on a tous cette illusion. Que tout le monde a un objectif dans sa vie. On est pourtant nombreux à se laisser glisser sur les rails déposer par d'autres, sans se poser de question. Il n'y a rien qui déraille Tu as peur Tu as mal Tu te sent seul Tu prie pour que les écho te ta souffrance atteignent quelqu'un En espérant que ça te donne l'illusion de ne pas être totalement seul La vie est dans le sang. L'essence du monde se répète dans notre organisme qui constitue notre existence. À la recherche de ce qui fait battre notre coeur, constamment en train de se mouvoir, l'énergie, cette vitalité offre la capacité à penser, à ressentir, à analyser. Nous ne sommes pas tous différents et pourtant avons chacun une histoire qui nous est propre. Que personne d'autre à part nous-même savons de quoi il s'agit. Nous sommes dotés de sens, et inconsciemment, nous sommes bercés dans l'observation constante de la vie. En interceptant les éléments qui nous entoure, nous essayons de comprendre le lien entre elles, et les différents sujets qui reviennent durant tout le long de notre existence. La beauté existe dans ce monde, elle est l'émerveillement face à une entité que nous estimons harmonieuse. La fascination est l'attention que nous portons à cette découverte, et peut ou moins nous toucher selon le contexte. La mort, est la fatalité de notre existence. Elle représente l'absence, la finalité de toute œuvre vivante qui finit par s'éteindre. Le coeur est fragile, si fragile. Notre corps a des failles qui, avec le temps, abandonne sa propre foi. Le songe au désespoir peut sembler une porte de sortie, parce qu'elle nous est inconnue, mystérieuse, calme. Le silence et le vide nous attire dans un sens car la destruction est inévitable, elle est la source d'une reconstruction, comme le mouvement de l'expansion constante de notre univers. À quoi ressemble la fin ? La peur est-elle un avant-goût du danger, de la souffrance, de la mort ? L'instinct de survie nous projette de survivre, mais la terreur nous signe de la misère de notre chute. Nous ne savons pas à quoi ressemble notre propre mort, notre esprit est bloqué, dans une enveloppe, submergée par l'inconnu. Sentirons-nous tout notre sang se vider sur un sol en béton ? Notre coeur battre si vite qu'il en s'arrêterait ? L'ardeur de la vie quitter nos membres ? Notre esprit deviendrait-il clair, ou confus ? Dans cet état de questionnement, de secrets, de censures, il y a une chose qui peut se remarquer dans les traits c'est la nature d'un être, son essence. Ce dont le coeur a été habitué, par ses actions impulsives, qui échappent au contrôle. K&S.chap5 "Peut-être que tu le sais déjà, mais je pense être complètement fou. Pas que ce terme me protège ou m'exempt de mes paroles ou de mes actes. Car je sais que chaque action possède une conséquence irréversible. La folie coûte chère, la folie vit en toi. La folie devient le monstre qui te dévore. Parfois, c'est plus simple de se dire que face à l'injustice de ce monde, face à la cruauté, tu peux la combattre, tu peux foncer dedans et y perdre ta vie. Car la vie, ne tient qu'à un fil, et la mort c'est juste la fin." __ Tout progresse, tout éclôt, rien ne connaît la déchéance, et mourir est différent de ce que nous pouvons croire, et plus heureux. ~~~ Il la vit avec une concentration si aiguë qu'il cessa d'exister. Le monde à cet instant ne contenait qu'elle. ... Mais sa proximité l'illuminait intérieurement. ~~~ Les jeunes filles vives montraient peu de traces de la tragédie récente ~~~ La douleur est naturelle. La surmonter est une question de choix. ~~~ Scellés sont ses yeux doux sans soupirs Elle n'a pas de questions, elle n'a pas de réponses - Virgin Suicides - __ Tu crains la réalité, elle te fait mal car tu es fragile. Tout comme moi, moi aussi, je suis fragile. Très fragile. Ils ne nous comprennent pas. Parce que les gens faibles ont peur de nous, de notre fragilité. On est trop "bizarres" à leurs yeux, ou dehors de leurs "normes" Tu es différent, et c'est un trésor. Tout ce qui est hors norme, est en danger. On peut en avoir peur. Même en supposant que tu le sois, tu dois garder ça pour toi. Mais les gens ont le droit de savoir. Mais ça intéresserait qui ? -Sala samobójców - À toi de décider. Je ne peux pas dire que je comprends ta douleur. Tu es le seul à pouvoir la comprendre. Je ne te dirai pas de fuir cette douleur C'est une un moyen de fuir Vvire avec sa douleur Ou bien s'en échapper C'est à toi de décider. C'est ta vie après tout. Je ne peux pas dire que vivre à du bon, Mais vous êtes le seul à pouvoir donner un sens à votre vie. - Mnemosyne no musume-tachi - __ Son cri m'a traversé Shirotan dans son désespoir observe son ami Kuroge sur son lit de mort. Maigre, la peau pâle, translucides, bleutées, mauves, en complémentaires avec le ton jaune pâle de sa peau. Il semble affamé, fatigué, souffrant et à la fois plongé dans un sommeil, une plénitude extrême. Shirotan n'arrête pas de pleurer. Croiser la mort, celle de son seul ami, de son ombre, de sa lumière. Il n'y a plus de souffrance pour lui désormais car mourir lui permet de se libérer. De tout ce qui lui faisait mal, de tout ce qui ne le comprenait pas, de tout ce qu'il n'arrivait pas à résoudre. Il est libre désormais. Bonne nuit doux prince, Le reste est voué au silence. ~~~ De la poussière sur un grand cercueil noir. Le ciel orageux, un vent déchirant. Poudreux. Gris. Une boîte, du sable, un machine en feraille énorme, un bulldozer. Des passants en noir, en chemises, les mains dans les poches. De la fumée. Les jardins étaient fleuris, la pelouse verte ardente et fraîche. L'odeur du calme emplissait les poumons de Shiro. Il retira ses écouteurs, pour écouter, le silence du cimetière. La cérémonie d'inhumation était à son image, solennelle et puissante. Il m'arrivait pas à réaliser, à comprendre ce qu'il s'était passé. Tout était si vif, lent et rapide en même temps, cruel et injuste, la vie, la réalité en pleine face comme un poing dans l'estomac, qui lui retournait ses tripes. Il n'avait pas de larmes. Face aux arbres, som humilité tendait vers le haut, le dos bien droit. Kuroge était mort. Son décès emporta avec lui ses souffrances, ses injustices, son combat. Il ne restait que son existence parmis les souvenirs, la mémoire, les traces laissées. Tout était dès lors, plus précieux. L'ombre qui ornait le sol, à contre-jour de la lumière semblait plus importante. Sa présence demeurait dans le vaste infini de nos souvenirs qui s'estomperont un jour, ternis et oubliés dans nos coeurs. Mika était là, le col blanc, cravate et veste noire. Pudique. Un mouchoir blanc dans sa poche, il avait apporté un bouquet énorme de roses et d'oeillets, de chysanthèmes et de lycoris. Un immense bouquet de bougainvilliers et une couronne de fleurs de champs avaient été placé par la suite autour de la sépulture, il y avait, un livre taillé et trois petits points sur son épitaphe. De l'encens planté dans du riz, brûlait une odeur qui semblait lointaine, irréelle, familière comme le veut la tradition. Vincent, était aux côtés de Mika, les yeux vides et la mine grise qui regardait l'immense machine emporter le cercueil. Il y avait peu de monde à son enterrement. La cérémonie d'adieu fut brève, formelle. Il n'y a pas eu de textes. Ni de lectures. Mika avait écrit une lettre qu'il déposa sur la tombe, scellée. Le vent emporta les maux. ~~~ It's lonely, not being able to feel. I don't know how anyone else feels. I do t know how to connect with others. I was so lonely it hurts. But no one understood. I'm sure they hoped I would hurry up and die. Even if I was all alone. I was going to survive. The first step was to stop depending on others. I mastered the skills I need to survive. I learned to manage on my own. No one cares if I die. No one ties me down. It's the best way to live. ... You're wrong. You know it too. I care about you. That's why I worry, why I treat your wounds when you're hurt, and why I'd be sad if you died. You're the only person who intruded on my solitude. But you keep doing stuff for me and talking to me , and I decided to try doing the same for you. Time would heal my loneliness. (dmmd happy end) ___ Depuis quand suis-je enfermé là-dedans ? Détruis tout. Il y avait une place qu'on appelle " le marché" on y trouve de tout : du chaton au vieux pd. Hashi, tu ne te rends pas compte qu'on est enfermé dans un truc sinistre et gluant, sans pouvoir bouger. Désolé, je suis pressé. Vraiment pressé. Je n'aime pas cette ombre sinistre au fond de tes yeux . Ici, vous ne pourrez que vous satisfaire du plaisir de la chair, votre argent ne vous achètera rien d'autre qu'une solitude plus grande encore. Réalité perdue Mais en fait on ne réalise ses rêves qu'avec du sang, de la sueur et des larmes, qu'est-ce que tu en penses Tu auras beau attendre, rien ne viendra jamais. Ton attente est un prétexte à ne rien faire, une illusion. Une illusion ? Qu'y a-t-il de mal à se faire des illusions ? Il me semble que je comprends trop bien les choses. Il y a beaucoup de choses désagréables dans la vie, mais il faut les supporter. Tu es comme un petit chat qui erre dehors parce qu'il veut rentrer Prince des mendiants "Le bonheur n'existe pas dans ce monde", se dit-il tout en essayant de réfréner une envie de pleurer qui se mua rapidement en rage. Je ne peux pas, et j'en suis incapable de l'aider, bien que j'en tremble de chagrin. L'atmosphère stagnante et enfumée semblait s'épaissir d'instant en instant. La pluie rendait tous les contours imprécis. Les ombres tremblotantes des passants se reflétaient dans les flaques. (...) était assis au milieu de débris de verre, de métal, de papiers, de mégots. Avant ça, j'étais mort. Un sentiment inconnu naissait en lui : la confiance en soi. Tout se fondait dans un gris sale. Le paysage se liquéfiait dans le crépuscule sur lequel passait des gros nuages. Pourquoi ? Pour rencontrer mes propres désirs. D'un seul soupir, je déchirerai la nuit. Fou, je te rendrai fou. Un parfum m'accueillit. Si fragile, il devait suffire d'un souffle de vent pour les faire disperser. Je suis insomniaque. C'est seulement quand je cours jusqu'à l'épuisement que les insectes meurent enfin. Quand je suis épuisé à en mourir, ça me fait du bien. Hé Hashi, qu'est-ce que t'as encore inventé ? Qui t'as rendu malade à nouveau ? Hashi avait l'air de souffrir. Tu te trompes Kiku, personne n'a besoin de personne. Ce qui est important c'est de savoir ce qu'on veut. Si tu es submergé par l'émotion au point de ne plus pouvoir te contrôler, essaie. Joue un rôle d'indifférence. Une sorte de cristallisation de tous ses mauvais pressentiments. J'ai commis un acte vraiment cruel, je me suis servi de la souffrance d'autrui, pour en faire un spectacle. La loi doit être appliquée sans états d'âmes, les antécédents psychologiques ne doivent en aucun cas servir a excuser un crime. Cependant si on considère que les lois on été créés a l'origine dans un soucis de respect de la personne humaine, on ne peut s'empêcher d'avoir conscience que le crime de ce jeune homme est celui de la société que nous avons tous contribué à créer. Ceux qui avaient compris l'importance du temps ne pensaient plus à s'enfuir et vivaient dans un état de semi-hibernation. Ce que craignait l'état plus qu'une évasion, c'était un suicide. Elle contempla son désastre en souriant de sa propre folie puis éclata en sanglots convulsifs. Tu sais pourquoi les humains ont besoin de dormir ? Pour récupérer leurs forces, pour que le cerveau puisse se reposer et fonctionner normalement. Si le cerveau n'a pas sa dose de repos, il devient fou. Tu as peur ? Kiku ferma a nouveau ses yeux. Pousse un cri de toute tes forces, ça ira mieux après. Yamane parlait d'un ton étrange, d'une vois douce et neutre au timbre égal. Comme quelqu'un lisant à haute voix, de l'autre côté d'un mur contreplaqué. Kiku ferma les yeux encore une fois et poussa un long hurlement, d'une force à faire trembler le lit. Quand il s'arrêta enfin, Kiku respira et se mit à pleurer. De quoi as-tu peur ? demanda Yamane à voix basse. Dis-le, ça te fera peur tant que tu le garderas pour toi. Dis-le. Kiku, réfléchis, tu ne vas pas te laisser battre par ce qui te fait peur, ne renonce pas, si tu renonces à te battre c'est fini. Des l'instant où tu renonces, tu es en enfer ! Crache-le. Dis ce qui te fait peur ! Si tu as réussi aujourd'hui c'est grâce au tous ces gens que tu as trouvé sur ton chemin et qui t'ont aidé, c'est ça la vie humaine, ne l'oublie pas. Ceux qui ne savent pas ce qu'ils veulent n'ont aucune chance de l'obtenir. Et alors je me suis construit un autre moi-même et j'ai nourri ce personnage. Je suis fou, ma tête et mon corps sont séparés ! Les vrais fous ne disent jamais qu'ils le sont, ils se croient normaux. Regarde ton interlocuteur dans les yeux quand tu leurs parles. Crier c'est peut-être une façon d'appeler à l'aide inconsciemment, mais lui, savait dans sa solitude que ce n'était pas la peine de crier : personne ne viendrait. (Coin Lockers babies) _ Parce que là, en cet instant, on sent une vie réduire a plus rien, et pas même rien, au néant. L'oubli total. Il est facile de pleurer lorsqu'on prend conscience que tout ce que l'on aime nous rejettent ou mourront. Sur une échelle temporelle, le taux de survie des humains retombe à 0. Je voulais juste dormir. À la manière dont mon visage s'était effondré, on aurait pu croire que j'étais mort. Je ne donne jamais mon véritable nom Cette distance insomniaque de toute chose, on ne peut plus rien toucher et plus rien ne vous touche C'était ici la liberté. Perdre tout espoir était la liberté. J'avais collectionné des étagères pleines de moutardes différentes. Il y avait quatorze parfums différents de sauces de salades sans matière grasse, et sept variétés de câpres. Je sais, je sais, une maison pleine de condiment et pas de véritable nourriture. J'ai appelé T. Le téléphone a sonné. Oh T. , s'il te plaît, délivre-moi. Et le téléphone a sonné. Délivre-moi de cette réalité materielle. Et le téléphone a sonné et T. a répondu. Puis-je ne jamais être complet Puie-je ne jamais être satisfait Puis-je ne jamais être parfait Délivre-moi, T, de ne jamais être parfait et satisfait. T et moi, on s'est mis d'accord pour se retrouver dans un bar. T et moi, nous nous sommes retrouvés et nous avons bu beaucoup de bière. Et là dans ce bar où personne ne regardait, où personne n'allait se soucier de rien, ivre que j'étais, j'ai demandé à Tyler ce qu'il voulait que je lui fasse. T a dit : "- Je veux que tu me frappes aussi fort que tu le peux." J'ai le goût du sang dans la bouche : je suis obligé de me mettre à déglutir. Je sens les blessures à l'intérieur de ma joue de la pointe de ma langue. Et je continue d'avaler mon sang. Mon patron fait la présentation à partir de mon topo et moi je m'occupe du retroprojecteur et donc je suis en retrait sur un coté de la pièce, dans l'obscurité. Mes lèvres s'engluent de sang, de plus en plus à mesure que j'essaie de lécher l'hémoglobine et lorsque les lumières se rallumeront, je leur dirai "merci d'être venus" de la bouche brillante de sang et le sang en train de s'insinuer dans mes dents. On peut avaler de l'ordre d'un demi-litre de sang avant d'être malade. "C'est juste que je ne veux pas mourir sans quelques cicatrices." Rien n'est statique. Même la Joconde tombe en morceaux. Mais le fight club ce n'était pas une question de porter bien, de porter beau et de paraître. On y hurle en langues incompréhensibles comme chez les mystiques à l'église et lorsqu'on se réveille le dimanche après-midi, on se sent sauvé. T. leur raconte que j'avais fait une chute. Parfois T. est mon porte-parole. "Je me suis fait cela à moi-même." Au-dehors, le soleil se levait. Lorqu'on a inventé le fight club, T et moi, aucun de nos deux ne s'était jamais battu. Lorsqu'on ne s'est jamais battu, on se pose des questions. Sur le fait d'avoir mal, sur ce qu'on est capable de faire face à un autre homme. Il a parlé d'autodestruction. À l'époque, ma vie me donnait l'impression d'être trop complète, et peut-être qu'il nous faut tout démolir pour faire quelque chose de mieux de nous-mêmes. T. débarque au petit déjeuner, des suçons sur tout le cou et la poitrine, et moi, je suis en train de feuilleter un vieux magazine. Des tas de gens voulait la voir morte, apprend-elle. "La fille est une ordure, un déchet de l'humanité contagieux, elle n'a pas toute sa tête Elle n'a aucune foi en elle même, et se fait du soucis qu'à mesure qu'elle vieillira, les options qui se présenteront à elle seront de moins en moins nombreuses." Colle-moi une arme sur la tempe et repeins le mur avec ma cervelle. Sa philosophie de vie, est qu'elle peut mourir à tout instant. La tragédie de sa vie, c'est qu'elle ne meurt pas. "Les abeilles ouvrières peuvent partir Même les faux-bourdons peuvent s'envoler La reine est leur esclave" J'enlace à plein bras ma corruption malsaine. Ce n'est qu'après le désastre que nous pouvons ressusciter. Ce n'est qu'après avoir tout perdu, qu'on est libre de faire ce qu'on veut. " Un tigre sourit Un serpent dira qu'il t'aime Mens, deviens le mal." L'oeuvre d'un cerveau totalement malade. P.141 Je n'ai rien. Vous avez tout. Et j'étais d'humeur à détruire quelque chose de beau. Je me comporte ces derniers temps de manière pitoyable. (Fight Club) ~~~ 22.11.22 J'ai tué mon personnage. Celui qui m'était attribué lors des bacchanales fictives d'un livre, celui qui n'était pas "moi" J'y ai mis fin parce qu'il représentait l'enchaînement aux troubles alimentaires, à la peau claire et fragile que je ne suis plus, désormais Je me suis libéré du poids de ses tourments. J'ai perdu des amis, et il est allé les rejoindre dans l'espace de l'autre monde. De l'autre côté du gouffre infini du désespoir sans fond, les rêves d'un abysse oublié. Mais sache, que je ne vous oublierai jamais. Tous les moments passés sont précieux, les mots, les lettres, les attentions, les regards, les mains. J'ai voulu immortaliser, cristalliser sa beauté précieuse. À jamais. "Je l'ai aimé Je l'aime Et je l'aimerai." Adieu Francis Abernathy. Mon ami. ~~~~ Lorsqu'est né, Vyvyen Henry Wolf Melmoth. Une jeune personne androgyne, qui a pour destinée dee raconter la fable métaphysique sur la quête spirituelle ded l'humain et ses insolubles contradictions. ~~~ Poème 1 Si tu vois que ta vie échoue En silence rebâtis la Que tu perdes cent fois la bataille, ce n'est rien N'en sois pas énervé et ne t'en plains pas On te délaisse, mais toi pas, c'est ça la sagesse, Ne baisse pas les bras et préserve ton honneur. Poème 2 Ecouter, mieux vaut écouter les paroles justes et les raisons impartiales Voir, mieux vaut voir des choses grandioses Ne sois pas avide des joies égoistes Et ne te laisse pas emporter par des lubies d'un moment Crois en toi et non en autrui Donne largement ton amour er ne le restreint pas Devant la richesse, ne t'efface pas A côté de la misère, point de mépris Sois juste en te servant de l'objectivité Il faut que tout soit beau comme sur les modèles Poème 3 Ma vie est une vie d'honneur Bien que pauvre mais pleine de largesse. Malgré que je me démène indéfiniment du matin au soir Je ne vois que moi dans le monde. Là où nous allons, nous nous rencontrons dans la noblesse Nous nous reconnaissons dans les gestes sublimes. De leur richesse nous ne voyons que nullité. Et leur titres de gloire, nous les trouvons ignobles. O combien de gens menant une vie sans vergogne, Se disputant les vivres tels que les fauves, Acquièrent quand même une situation honorifique inégalée. Assurément, que de mensonges dans cette vie mensongère. Poème 4 La vie est comme un marché Et les hommes tels des négociants Faisant le commerce des diplômes, situations, argent et même compétences et dignité. (my little grandmother gave these poems to my mom and now she's giving them to me) _ Une subvention est une aide financière, directe ou indirecte, allouée par une personne publique en vue de financer une activité d'intérêt général. __ infundibulum / chantepleure DIDACTIQUE Partie en forme d'entonnoir (d'organes ou canaux) __ https://16colo.rs/ https://16colo.rs/ https://16colo.rs/ PLAYSCII https://patorjk.com/software/taag/ _ No more be grieved at that which thou hast done; Roses have thorns, and silver fountains mud, Clouds and elipses stain both moon an sun, And loathsome canker lives in sweetest bud. __ The worst was this : my love was my decay. ___ Re-watching Love Exposure Some scenes about Love, the corinthien chapter 13, the situation the characters are inevitably forced to live. The obscenity perceived as a disgusting thing ; but the passion of love. __ Life seems lighter for now. Ago is by my side. __ Rencently my life if becoming more calm. I've watched Noriko's Dinner Table, and i just loved it so much. The way the characters exists. The way how a simple story can become complex. Each lives had their own struggles, happy moment, free moments. We believe in hope or in death. It is a strength. ___ you're going to crumble at this rate. keep going down this road and you'll end up *** __ Zenya = Beneath an often very mocking, playful exterior is a very troubled, angry young man with a great deal of pent up rage and depression. He's an unsafe individual and a danger to others as well as himself. _ L’objet ancien raconte une histoire. Il existe de manière matérielle et exprime un artéfact, une trace de l’homme dans le monde. L’existence des créations perdureront dans le futur, juqu’à la destruction de celle-ci. La conservation de souvenirs, de réalisations d’origine humaine peut signifier beaucoup pour un être comme il peut être inutile à l’autre. Le rapport du matériel est lié à ce que l’être vivant perçoit et ressens par le besoin. Il existe des expressions pour désigner des personnalités « fous d’objets » : - Matérialisme : thèse selon laquelle la matière constitue tout l'être de la réalité. Personne qui va attacher une grande importance aux objets “matériels", orientation vers la recherche de satisfaction matérielle. - Maximalisme : Style qui se caractérise par l'accumulation d'objets et de meubles. (Contraire du minimalisme) - Syllogomanie : du grec ancien σύλλογος / súllogos « rassemblement ». Trouble psychique qui se traduit par une accumulation pathologique d'objets. - Capharnaüm : Lieu qui renferme beaucoup d'objets en désordre. - Le syndrome de Diogène : syndrome de décompensation sénile, accumulation d’objets matériels sans réelle utilisation pratique. Trouble du comportement conduisant à des conditions de vie négligées, voire insalubres. Ce syndrome comprend une forme extrême d'accumulation compulsive ou de syllogomanie. Référence à Diogène de Sinope, philosophe grec qui, au moyen d’une vie très simple, vêtu d'un simple manteau, muni d'un bâton, d'une besace et d'une écuelle tendait à dénoncier l'artifice des conventions sociales. Les motivations de sa vie étaient telles qu’il voulait démontrer l’indépendance vis-à-vis des biens matériels vers une plus grande liberté morale. - Hikkikomori : au Japon, certaines personnes vivent coupés du monde et des autres, cloîtrés le plus souvent dans leur chambre pendant plusieurs mois, voire plusieurs années. Ils se sentent accablés par la société, ont le sentiment de ne pas pouvoir atteindre leurs objectifs de vie et réagissent en s'isolant de la société. Bien évidemment, chaque personne à un rapport différent face aux objets et il n’est pas forcément alarmant d’accumuler des objets, ou de collectionner un certains types de choses. _ https://fr.wikipedia.org/wiki/Dyade_(sciences_sociales) https://fr.wikipedia.org/wiki/Hikikomori https://fr.wikipedia.org/wiki/Diog%C3%A8ne_de_Sinope https://fr.wikipedia.org/wiki/Syllogomanie https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Mus%C3%A9e_de_l%27innocence Mais pour lui, il est trop tard et il se console en devenant cleptomane et fétichiste, en réunissant comme dans un musée tous les objets lui rappelant Füsun qu'il peut trouver, le « musée de l'innocence » diffusant toute une généalogie dont il demandera à un certain Orhan Pamuk, personnage du roman, de les préciser. L'auteur met également en avant une pathologie mentale ; la syllogomanie, dont souffre le héros. Le déclencheur de cette pathologie étant la recherche d'un lien affectif, un contact ou tout autre lien (géographique ou autre) entre l'objet et la femme qu'il aime. La description de cette pathologie, associant cleptomanie, mensonges, manipulation est superbement mise en scène tout au long du roman. (oh great) https://fr.wikipedia.org/wiki/Collection_(activit%C3%A9) _ https://youtu.be/LmMWha-sBnc ___ Why was I so attached to romance/adoration ? Maybe, it was the fear of being abandoned, by friends or family. Being afraid that you'll be remplaced. I started maybe to devote myself to take care of people or things (i can't reach but i want to have). Sometimes i get luck and am able to enjoy my time, but the rose fades so fast. I'm continually looking after buds, watering them to seeing them flourishing in the near future, but gardening is hard, it takes lots of time and energy. Je ne veux délaisser personne. The hardest thing is to figuring out where is my place after all of that. ___ Surnommés les Ermites de Harlem, les frères Collyer sont devenus tristement célèbres pour leur association au syndrome de Diogène. Fervents « collectionneurs », ils ont accumulé des tonnes d'objets, à tel point que cela les a amenés à une fin inévitable que personne n'aurait pu prévoir. Les frères Collyer sont vraisemblablement morts victimes des traquenards qu'ils avaient installés eux-mêmes dans leur demeure pour décourager les pillards. Langley aurait été écrasé par une valise et trois énormes liasses de journaux, alors qu'il rampait dans un tunnel de déchets pour apporter à manger à son aîné Homer, devenu paralytique et aveugle qui serait mort à son tour de faim quelques jours plus tard. __ Adoration Remerciements Demandes Offrandes Résolutions __ I left the Roost and walked down the dark street, breathing the night air. Eiji said he had an errand to run, so he left ahead of me. Then i got drunk, and now my brain was fuzzy from the booze. So many questions and absolutely no answers. Dark emotions built in my chest. I was confused, and I felt sick, and my head ached... it fekt like every inch of my body was fulled with sludge, and it made me wish someone would just slash me open. I have a favor to ask. Do you have a knife ? Cut me. Use this knife and cut me. Cut me to shreds. As he looked back at me in horror, I rolled up my aleeve and pressed the knife to me bare skin. Then i dragged it in a straight line that quickly turned scarlet as fresh blood rose to the surface. Cutting myself had helped somewhat to ease the pressure I felt inside. My mind felt feverish, and i couldn't think straight. __ In this town, if you didn't have any caring friends, no one would reach out to help you, no matter how injured you were. __ Three D : Drink, Drugs and Depression. " I was so antisocial that I was almost insane. You know i felt so different, so crazy that people just left me alone." K. Cobain